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lundi, 14 août 2023

ILS ONT VECU OU SONT PASSES PAR MA VILLE DE NAISSANCE (Landrecies dans les Hauts de France), AU COURS DES SIECLES

JULES CESAR : si on accepte l'hypothèse que la bataille livrée par lui aux Nerviens s'est déroulée le long de la Sambre ( aux Etoquies ).

JACQUES D'AVESNES : premier et unique seigneur de la cité, s'y installa en 1222.

GUY DE CHATILLON : seigneur d'Avesnes, établit en 1304 la "foire aux carottes".

JEANNE DE LALLAING :  en 1458, "Dame de Landrecies", pieuse et charitable envers les malheureux de la cité.

HAQUINET DE VAUX : en 1477 attaqua une nuit par surprise les soldats de LOUIS XI ce qui provoqua le pillage et l'incendie de la forteresse.

MAXIMILIEN D'AUTRICHE : en 1483 accompagné de son épouse, Marie de Bourgogne et de leur fils, Philippe le Beau, récompensèrent les Landreciens d'avoir réparé les fortifications de la ville et de l'avoir pourvue d'une garnison.

FRANCOIS 1er : fit renforcer les murs de la cité en 1543 et infligea à Charles Quint un cuisant échec alors que celui-ci aurait voulu s'emparer de la ville.

PHILIPPE DE CROY : duc d'Aerschot, introduisit dans la cité Charles Quint en 1548, avec son fils Philippe, accompagnés de Marie d'Autriche et Eléonore d'Autriche.

TURENNE LA FERTE, VAUBAN et LOUIS XIV : en 1655 pénétrèrent dans la forteresse.

LOUIS XIV : passa la nuit du 3 au 4 mai 1670 dans une ferme à cause d'une crue subite de la Riviérette qui empêcha son carrosse de franchir le gué.

 En 1670, la nuit du 3 au 4 mai défraya longtemps les correspondances.

La journée du 3 avait été pénible. L’immense convoi était parti de Saint-Quentin pour Landrecies, de très bonne heure, par une pluie battante, qui faisait grossir à vue d’œil les cours d’eau et les marais. D’heure en heure, on enfonçait davantage dans les boues, et la route s’encombrait de chevaux et de mulets, morts ou abattus, de charrettes embourbées et de bagages déchargés. Les carrosses ne tardèrent pas à se mettre de la partie. Le maréchal de Bellefonds abandonna le sien dans une fondrière et fit le reste de l’étape à pied, avec Benserade et deux autres. M. de Crussol eut de l’eau par-dessus les portières, en traversant la Sambre, et M. de Bouligneux, qui le suivait, fut contraint de dételer au milieu de la rivière et de se sauver sur l’un des chevaux. Quant à la Reine et à Mademoiselle, on eut beau les conduire à un autre gué, « fort sûr, » leurs cris et leur agitation furent tels, que l’on renonça à les faire passer. Elles allèrent chercher un abri dans la seule habitation du rivage. C’était une pauvre maison, composée de deux pièces se commandant, et n’ayant que la terre pour plancher ; Mademoiselle s'enfonça jusqu’au genou dans un trou boueux. Landrecies était sur l’autre bord, la nuit tombait, et chacun mourait de faim, car l’on n’avait presque rien eu à manger depuis Saint-Quentin. Le Roi, très mécontent, déclara que tout le monde resterait là, et que l’on attendrait le jour dans les carrosses.

Mademoiselle remonta dans le sien, mit son bonnet de nuit, sa robe de chambre et se délaça en dessous, mais elle ne put fermer l’œil, « car c’était un bruit effroyable. » Quelqu’un lui dit : « Voilà le Roi et la Reine qui vont manger. » Elle se fit porter telle quelle, à travers les bourbiers, dans la petite maison, et trouva la Reine fort maussade. Marie-Thérèse n’avait pas de lit, et elle se lamentait, disant « qu’elle serait malade si elle ne dormait point, » et demandant où était le plaisir de voyages pareils ? Louis XIV mit le comble à son chagrin en proposant de coucher toute la famille royale et quelques familiers dans la plus grande des deux pièces, l’autre devant servir de quartier général à Lauzun : « Voilà, disait le Roi, qu’on vient d’apporter des matelas ; Romecourt a un lit tout neuf sur quoi vous pourrez dormir. » — « Quoi ! se récriait la Reine, coucher tous ensemble, cela serait horrible ! » — « Quoi ! reprenait le Roi, être sur des matelas tout habillés, il y a du mal ? Je n’y en trouve point. » Mademoiselle, prise pour arbitre, n’y en trouva point non plus, et la Reine céda.

Cependant la ville de Landrecies avait envoyé à ses souverains un « bouillon fort maigre, » dont la mauvaise mine consterna Marie-Thérèse. Elle le refusa avec dépit. Quand il fut bien entendu « qu’elle n’en voulait point, » le Roi et Mademoiselle, aidés de Monsieur et de Madame, l’expédièrent en un instant, et, dès qu’il n’y eut plus rien, la Reine dit : « J’en voulais, et l’on a tout mangé ! » On allait rire, au mépris de l’étiquette, sur un grand plat venu aussi de Landrecies, et sur lequel on se jeta. Il y avait dedans, raconte Mademoiselle, des viandes « si dures, que l’on prenait un poulet à deux par chaque cuisse et on avait peine en le tirant de toute sa force d’en venir à bout. » Puis l’on se coucha. Ceux qui n’avaient pas encore leur bonnet de nuit et leur robe de chambre, les mirent, et c’est dans l’appareil d’Argan qu’il faut se représenter la royauté française, pendant cette nuit mémorable.

Au coin de la cheminée, sur le lit de Romecourt, était la Reine, tournée de manière à regarder ce qui se passait : — « Vous n’avez qu’à tenir votre rideau ouvert, disait le Roi, vous nous verrez tous. » Auprès de la Reine, sur un matelas, étaient Mme de Béthune, sa dame d’atour, et Mme de Thianges, sœur de Mme de Montespan. Venaient ensuite, sur trois matelas se touchant faute de place, Monsieur et Madame, Louis XIV et la Grande Mademoiselle, Mlle de La Vallière et Mme de Montespan. Une duchesse, une marquise et une fille d’honneur se serraient sur un dernier matelas, placé en équerre, et des plus gênants pour le va-et-vient des officiers ayant affaire au quartier général, dans la pièce du fond. Par bonheur pour tout le monde, le Roi finit par faire dire à Lauzun de pratiquer un trou dans le mur extérieur de sa chambre et de donner ses ordres par là. Le dortoir royal eut ainsi quelque tranquillité, et l’on put s’endormir.

A quatre heures du matin, Louvois vint avertir que l’on avait fait un pont. Mademoiselle éveilla le Roi, et chacun se leva. Ce ne fut pas un beau coup d’œil. Les cheveux étaient pendants et les visages fripés. Mademoiselle se croyait « moins défigurée » que les autres, parce qu’elle se sentait très rouge, et elle s’en réjouissait, ne pouvant éviter d’être vue par Lauzun. La famille royale remonta en carrosse et s’en alla tout droit entendre une messe à Landrecies, après quoi ces augustes personnes se couchèrent, et dormirent une partie de la journée.

https://fr.wikisource.org/wiki/La_Grande_Mademoiselle/10

 

JEAN FRANCOIS DUPLEIX et HENRI CLARKE : tous 2 natifs de la ville, se rendirent célèbres par leurs agissements respectifs. (XVIII siècle)

L'EMPEREUR D'AUTRICHE, FRANCOIS II, LE PRINCE D'ORANGE : à la fin du XVIII ème entrèrent dans la ville, essayèrent en vain de gagner la sympathie des habitants.

LE DUC DE BERRY : le 3.08.1814 vint dans la ville pour y ranimer les sentiments monarchiques que partageait déjà la population au sortir de l'empire Napoléonien.

LE PRINCE AUGUSTE DE PRUSSE : en 1815 après le désastre de Waterloo s'empara de la forteresse le 20 juillet, ce qui permit au Roi de Prusse, Frédéric Guillaume, et au Général Blücher de la visiter le 8.10.1815.

LOUIS PHILIPPE : Roi des Français, en revenant de Belgique le 3.01.1833 avec ses fils, visita la ville.

LE PRINCE IMPERIAL, FILS DE NAPOLEON III : est passé par Landrecies en se rendant à Maubeuge le 03.09.1870.

RAYMOND POINCARE et LE ROI D'ANGLETERRE, GEORGES V : en novembre 1918.

LE GENERAL DE GAULLE : président de la république, s'arrêta quelques instant dans la cité le 25/09/1959. J'y étais et nous sommes allés le voir avec nos maîtresses d'école qui nous avaient donné un petit drapeau français que nous devions agiter. Souvenir flou pour moi qui n'avait pas encore 7 ans.

https://patrimoine-avesnois.fr/chemin/landrecies/

https://sitesavisiter.com/wiki/landrecies

 

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vendredi, 14 avril 2023

EXTRAIT DE MON LIVRE "QUELQUE PART UN HERITAGE", paru en octobre 2017

Au printemps 1794, la misère s’étend, les paysans sont taxés au maximum. On ne peut pas acheter de viande. La Terreur se poursuit et la disette aussi. On ne trouve plus rien sur les marchés, même pas du pain. Les plus pauvres se nourrissent d’herbes ou de racines qu’ils font cuire. Dans le village on s’entraide beaucoup, le troc réapparaît.

La vie de la population devient de plus en plus compliquée. Les prix montent, les salaires stagnent. La guerre demande de gros efforts matériels. Les français restent en état de réquisition permanente en attendant que les ennemis soient chassés du territoire. Les départements réclament des mules, des charrettes, du fourrage, du bois ainsi que des vivres.

Après la mort de Robespierre le 27 juillet 1794, il règne une grande confusion dans tout le pays. Le peuple est si misérable qu’il manque de courage. Les plus pauvres vont pieds nus, ils portent des guenilles et n’ont plus que la peau sur les os. Les plus faibles tombent comme des mouches. On ressent une grande lassitude. La Terreur prend fin au mois d’août mais la disette reste profonde.

https://www.thebookedition.com/fr/quelque-part-un-heritag...

 

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mercredi, 28 septembre 2022

L'ABBAYE DE SYLVANES, dans le SUD AVEYRON

Il y a 6 ans exactement, j'étais en visite dans le sud de l'Aveyron, et plus exactement à l'Abbaye de Sylvanès, fondée en 1136 par Pons de l'Héras. C'est un abbaye Cistercienne.

Pour plus de renseignements :

https://sylvanes.com/

https://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_Sylvan%C3%A8s

Mes photos personnelles :

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lundi, 25 juillet 2022

LE CHATEAU DU HAUT KOENIGSBOURG

Ce château est situé dans le Massif des Vosges, à 26 kms au nord de Colmar.

Je l'ai visité en septembre 2013.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_du_Haut-Koenig...


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vendredi, 10 juin 2022

MUSEE VILLA GALLO-ROMAINE de LOUPIAN (Hérault)

Le 25 mars 2013, j'étais allée visiter la Villa Gallo-Romaine de Loupian, près de Mèze, dans l'Hérault.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Villa_gallo-romaine_de_Loup...

A voir plus en détail sur ce blog :

https://amelier.blog4ever.com/la-riche-villa-gallo-romain...

 

Ci-dessous un extrait des photos que j'avais faites lors de ma visite.

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mercredi, 09 mars 2022

FAIRE UN TROU DANS LA LUNE

C'est manquer à ses engagements, faire faillite. Jusqu'au règne de Charles IX, le terme des contrats et des paiements était ordinairement fixé à la lune qui précède et détermine la fête de Pâques, avec laquelle commençait l'année. C'est pourquoi les débiteurs qui ne payaient pas à l'échéance de la pleine lune, ou qui déclinaient cette échéance par une banqueroute, étaient supposés faire une brèche à la lune.

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mardi, 04 janvier 2022

EN LECTURE

https://www.babelio.com/livres/Gurgand-Les-demoiselles-de...

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jeudi, 30 décembre 2021

LE MONDE MERVEILLEUX

Les légendes et croyances populaires sont une façon de raconter l'histoire, l'identité des habitants d'une région. Fées, lutins, géants, ogres, revenants ou sorcières jouent un rôle culturel bien précis. Les loups-garous peuvent errer dans des tourbières, les revenants peuvent hanter des falaises ou des marécages. Ces histoires incitent à éviter des endroits dangereux la nuit.

La Bretagne abrite de nombreuses fées.

La Provence est le pays des dragons.

Dans les Vosges ou les Ardennes, on parle de lutins qui transforment le bois en charbon de bois.

Le diable, par contre, construit des ponts dans tout l'Hexagone.

Le pouvoir des sorciers et des guérisseurs est partout.

Avant la christianisation de la Gaulle dans l'Empire Romain, les gens croyaient en des divinités et des génies de la nature (fées, lutins, géants...). Avec l'évangélisation, ceux qui s'adonnaient aux cultes anciens ont été excommuniés ou punis de châtiments corporels. Cependant, il n'a pas été fait table rase de tout. Entre le 9ème et 11 ème siècle, certains génies ont été christianisés donnant des saints officiels.

La frontière entre la magie et la religion n'est pas toujours claire. Mais la religion et la magie partagent l'idée selon laquelle il existe quelque chose après la mort. Certains croient aux revenants ou cherchent à entrer en contact avec les défunts via des médiums, lesquels affirment dialoguer avec eux.

Aujourd'hui comme autrefois, les croyances se construisent autour de nos us et coutumes, autour des "on dit".

Chamanes, médium, rebouteux... d'après différents sondages, près de la moitié des Français ont recours aux médecines douces et notamment aux guérisseurs-magnétiseurs. Il arrive que des magnétiseurs, ou des barreurs de feu, interviennent à l'hôpital (par exemple à Thonon les Bains ou Grenoble). L'initiative vient rarement des médecins, plutôt des infirmiers et infirmières ou des aides-soignantes qui font le lien avec les familles.

(Dominique CAMUS, chercheur à l'Université de Rennes II).

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vendredi, 03 décembre 2021

UN CHATEAU DANS LE CANTAL

Le château de Val à LANOBRE (Cantal) vaut le détour.

En octobre 2013, je suis allé le visiter avec mon mari. Ma mère y était allé au début des années 2000 avec le Club des Ainés de ma ville de naissance.

Ce château a servi de lieu de tournage de quelques films ou séries télévisées : en 1960 LE CAPITAN avec Jean Marais et Bourvil, pour quelques scènes. En 1970 MORGANE ET SES NYMPHES. En 1973, pour la série télévisée KARATEKAN et Cie avec Jean Marais. En 1984 pour le film FRANKENSTEIN 90 avec Jean Rochefort et Eddy Mitchell, film que j'ai regardé plusieurs fois en VHS.

http://lacorreze.com/chateaux/departements/cantal/le_chat...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Val

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mercredi, 17 novembre 2021

L'HISTOIRE

Il n'y a que deux grands courants dans l'histoire de l'humanité : la bassesse qui fait des conservateurs et l'envie qui fait les révolutionnaires (Edmond et Jules de GONCOURT).

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Ce qu'il y a de plus heureux pour les historiens, c'est que les morts ne puissent protester (Aurélien SCHOLL).

https://fr.wikipedia.org/wiki/Aur%C3%A9lien_Scholl

 

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L'histoire est le déroulement d'une trame d'éternité sous les yeux temporels et transitoires (Léon BLOY).

Léon Bloy — Wikipédia (wikipedia.org)

https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Bloy

 

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