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mercredi, 20 septembre 2023

MA GRAND MERE MATERNELLE (Marie Marguerite)

Ma grand mère maternelle (Marie Marguerite), que nous appelions Mémé dans notre enfance, ou Marguerite pour la famille, était née dans un moulin à Hon-Hergies, le 31 décembre 1898. Son père François (né le 1er mai 1868 et décédé le 17 décembre 1937) était meunier et sa mère Hermance Constance (née le 18 septembre 1869 et décédée le 1er mars 1934) était couturière. Ils s'étaient mariés à Haspres (Hauts de France) le 10 septembre 1892.

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Mémé avait une soeur, Jeanne, née en 1893 et décédée en 1981. Jeanne avait été mariée une 1ère fois à Jules, douanier, né le 26 décembre 1883 et décédé le 5 février 1917. Avec son 2ème mari, Fernand, elle a eu une fille, Fernande, qui a eu 3 enfants, Nicole en 1939, Françoise en 1948 et Michel en 1953. Nous allions régulièrement rendre visite à Jeanne et Fernand, les dimanches, dans leur maison de Jeumont (Hauts de France), près de la frontière Belge.

Mémé avait également un frère, Ernest, qui a été marié une 1ère fois avec Marcelle dont il a eu une fille Michèle en 1933. Ernest, devenu veuf, s'est remarié avec Adrienne. Ernest était né le 2 mai 1902 et décédé en mai 1961. Je ne me souviens plus d'Ernest qui habitait pourtant la même ville que ma famille. Je sais qu'il est décédé d'une hémorragie cérébrale.

J'ai fait quelques recherches sur les moulins d'Hon-Hergies. La commune possédait 3 moulins à blé et un moulin à huile.

- Le moulin du Tordoir de la Flaminette (scierie Blondeau, Dieudonné), c'est un moulin à farine au début. Nommé Moulin Egmont, puis Massart (1798), puis à huile en 1893. Paul Walquerman en devient propriétaire en 1930.

- Le moulin à farine Beauvois (1789), ou banal, ou moulin Bertrand puis Devos, puis Lambrecht (1886).

- Le moulin La Platinerie, devenu moulin à farine en 1811 (propriétaires successifs : Dusart, puis Lhost, puis Hurieau en 1811, puis Descamps en 1813, puis Lafuite).

https://villesetvillagesdelavesnois.org/honhergies/hon_he...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Hon-Hergies

 

 

 

lundi, 14 août 2023

ILS ONT VECU OU SONT PASSES PAR MA VILLE DE NAISSANCE (Landrecies dans les Hauts de France), AU COURS DES SIECLES

JULES CESAR : si on accepte l'hypothèse que la bataille livrée par lui aux Nerviens s'est déroulée le long de la Sambre ( aux Etoquies ).

JACQUES D'AVESNES : premier et unique seigneur de la cité, s'y installa en 1222.

GUY DE CHATILLON : seigneur d'Avesnes, établit en 1304 la "foire aux carottes".

JEANNE DE LALLAING :  en 1458, "Dame de Landrecies", pieuse et charitable envers les malheureux de la cité.

HAQUINET DE VAUX : en 1477 attaqua une nuit par surprise les soldats de LOUIS XI ce qui provoqua le pillage et l'incendie de la forteresse.

MAXIMILIEN D'AUTRICHE : en 1483 accompagné de son épouse, Marie de Bourgogne et de leur fils, Philippe le Beau, récompensèrent les Landreciens d'avoir réparé les fortifications de la ville et de l'avoir pourvue d'une garnison.

FRANCOIS 1er : fit renforcer les murs de la cité en 1543 et infligea à Charles Quint un cuisant échec alors que celui-ci aurait voulu s'emparer de la ville.

PHILIPPE DE CROY : duc d'Aerschot, introduisit dans la cité Charles Quint en 1548, avec son fils Philippe, accompagnés de Marie d'Autriche et Eléonore d'Autriche.

TURENNE LA FERTE, VAUBAN et LOUIS XIV : en 1655 pénétrèrent dans la forteresse.

LOUIS XIV : passa la nuit du 3 au 4 mai 1670 dans une ferme à cause d'une crue subite de la Riviérette qui empêcha son carrosse de franchir le gué.

 En 1670, la nuit du 3 au 4 mai défraya longtemps les correspondances.

La journée du 3 avait été pénible. L’immense convoi était parti de Saint-Quentin pour Landrecies, de très bonne heure, par une pluie battante, qui faisait grossir à vue d’œil les cours d’eau et les marais. D’heure en heure, on enfonçait davantage dans les boues, et la route s’encombrait de chevaux et de mulets, morts ou abattus, de charrettes embourbées et de bagages déchargés. Les carrosses ne tardèrent pas à se mettre de la partie. Le maréchal de Bellefonds abandonna le sien dans une fondrière et fit le reste de l’étape à pied, avec Benserade et deux autres. M. de Crussol eut de l’eau par-dessus les portières, en traversant la Sambre, et M. de Bouligneux, qui le suivait, fut contraint de dételer au milieu de la rivière et de se sauver sur l’un des chevaux. Quant à la Reine et à Mademoiselle, on eut beau les conduire à un autre gué, « fort sûr, » leurs cris et leur agitation furent tels, que l’on renonça à les faire passer. Elles allèrent chercher un abri dans la seule habitation du rivage. C’était une pauvre maison, composée de deux pièces se commandant, et n’ayant que la terre pour plancher ; Mademoiselle s'enfonça jusqu’au genou dans un trou boueux. Landrecies était sur l’autre bord, la nuit tombait, et chacun mourait de faim, car l’on n’avait presque rien eu à manger depuis Saint-Quentin. Le Roi, très mécontent, déclara que tout le monde resterait là, et que l’on attendrait le jour dans les carrosses.

Mademoiselle remonta dans le sien, mit son bonnet de nuit, sa robe de chambre et se délaça en dessous, mais elle ne put fermer l’œil, « car c’était un bruit effroyable. » Quelqu’un lui dit : « Voilà le Roi et la Reine qui vont manger. » Elle se fit porter telle quelle, à travers les bourbiers, dans la petite maison, et trouva la Reine fort maussade. Marie-Thérèse n’avait pas de lit, et elle se lamentait, disant « qu’elle serait malade si elle ne dormait point, » et demandant où était le plaisir de voyages pareils ? Louis XIV mit le comble à son chagrin en proposant de coucher toute la famille royale et quelques familiers dans la plus grande des deux pièces, l’autre devant servir de quartier général à Lauzun : « Voilà, disait le Roi, qu’on vient d’apporter des matelas ; Romecourt a un lit tout neuf sur quoi vous pourrez dormir. » — « Quoi ! se récriait la Reine, coucher tous ensemble, cela serait horrible ! » — « Quoi ! reprenait le Roi, être sur des matelas tout habillés, il y a du mal ? Je n’y en trouve point. » Mademoiselle, prise pour arbitre, n’y en trouva point non plus, et la Reine céda.

Cependant la ville de Landrecies avait envoyé à ses souverains un « bouillon fort maigre, » dont la mauvaise mine consterna Marie-Thérèse. Elle le refusa avec dépit. Quand il fut bien entendu « qu’elle n’en voulait point, » le Roi et Mademoiselle, aidés de Monsieur et de Madame, l’expédièrent en un instant, et, dès qu’il n’y eut plus rien, la Reine dit : « J’en voulais, et l’on a tout mangé ! » On allait rire, au mépris de l’étiquette, sur un grand plat venu aussi de Landrecies, et sur lequel on se jeta. Il y avait dedans, raconte Mademoiselle, des viandes « si dures, que l’on prenait un poulet à deux par chaque cuisse et on avait peine en le tirant de toute sa force d’en venir à bout. » Puis l’on se coucha. Ceux qui n’avaient pas encore leur bonnet de nuit et leur robe de chambre, les mirent, et c’est dans l’appareil d’Argan qu’il faut se représenter la royauté française, pendant cette nuit mémorable.

Au coin de la cheminée, sur le lit de Romecourt, était la Reine, tournée de manière à regarder ce qui se passait : — « Vous n’avez qu’à tenir votre rideau ouvert, disait le Roi, vous nous verrez tous. » Auprès de la Reine, sur un matelas, étaient Mme de Béthune, sa dame d’atour, et Mme de Thianges, sœur de Mme de Montespan. Venaient ensuite, sur trois matelas se touchant faute de place, Monsieur et Madame, Louis XIV et la Grande Mademoiselle, Mlle de La Vallière et Mme de Montespan. Une duchesse, une marquise et une fille d’honneur se serraient sur un dernier matelas, placé en équerre, et des plus gênants pour le va-et-vient des officiers ayant affaire au quartier général, dans la pièce du fond. Par bonheur pour tout le monde, le Roi finit par faire dire à Lauzun de pratiquer un trou dans le mur extérieur de sa chambre et de donner ses ordres par là. Le dortoir royal eut ainsi quelque tranquillité, et l’on put s’endormir.

A quatre heures du matin, Louvois vint avertir que l’on avait fait un pont. Mademoiselle éveilla le Roi, et chacun se leva. Ce ne fut pas un beau coup d’œil. Les cheveux étaient pendants et les visages fripés. Mademoiselle se croyait « moins défigurée » que les autres, parce qu’elle se sentait très rouge, et elle s’en réjouissait, ne pouvant éviter d’être vue par Lauzun. La famille royale remonta en carrosse et s’en alla tout droit entendre une messe à Landrecies, après quoi ces augustes personnes se couchèrent, et dormirent une partie de la journée.

https://fr.wikisource.org/wiki/La_Grande_Mademoiselle/10

 

JEAN FRANCOIS DUPLEIX et HENRI CLARKE : tous 2 natifs de la ville, se rendirent célèbres par leurs agissements respectifs. (XVIII siècle)

L'EMPEREUR D'AUTRICHE, FRANCOIS II, LE PRINCE D'ORANGE : à la fin du XVIII ème entrèrent dans la ville, essayèrent en vain de gagner la sympathie des habitants.

LE DUC DE BERRY : le 3.08.1814 vint dans la ville pour y ranimer les sentiments monarchiques que partageait déjà la population au sortir de l'empire Napoléonien.

LE PRINCE AUGUSTE DE PRUSSE : en 1815 après le désastre de Waterloo s'empara de la forteresse le 20 juillet, ce qui permit au Roi de Prusse, Frédéric Guillaume, et au Général Blücher de la visiter le 8.10.1815.

LOUIS PHILIPPE : Roi des Français, en revenant de Belgique le 3.01.1833 avec ses fils, visita la ville.

LE PRINCE IMPERIAL, FILS DE NAPOLEON III : est passé par Landrecies en se rendant à Maubeuge le 03.09.1870.

RAYMOND POINCARE et LE ROI D'ANGLETERRE, GEORGES V : en novembre 1918.

LE GENERAL DE GAULLE : président de la république, s'arrêta quelques instant dans la cité le 25/09/1959. J'y étais et nous sommes allés le voir avec nos maîtresses d'école qui nous avaient donné un petit drapeau français que nous devions agiter. Souvenir flou pour moi qui n'avait pas encore 7 ans.

https://patrimoine-avesnois.fr/chemin/landrecies/

https://sitesavisiter.com/wiki/landrecies

 

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mardi, 25 avril 2023

LES CAVALIERS DU FROID ET LES SAINTS DE GLACE

  • 23, 25, 29 avril et 1 er mai : “Gelées de Saint-Georges, Saint-Marc, Saint-Robert, Récoltes à l’envers.” “Entre Saint-Georges et Saint-Marc, Est un jour d’hiver en retard.” (Ce sont les cavaliers du froid).
  • Le 11 mai, “Attention, le premier Saint de glace, souvent tu en gardes la trace
  • le 12 mai, “Saint Pancrace souvent apporte la glace”
  • le 13 mai, “Avant Saint Servais point d’été, après saint Servais plus de gelée”.
  • Le 25 mai, « Mamert, Pancrace et Servais sont des Saints de glace, mais Saint Urbain les tient tous les trois dans sa main ». Le 25 mai évoqué ne fait pas parti des Saints de Glace.

Même si les dictons ne se vérifient pas toutes les années, il est quand même conseillé de faire attention aux gelées tardives jusqu’à la fin-mai.

(En photos, iris de mon jardin, photos d'hier).

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mardi, 07 février 2023

DES LUTTES

Hier soir, sur la 3ème chaîne, j'ai regardé et aimé le reportage : PLOGOFF LES REVOLTES DU NUCLEAIRE.

https://www.programme-tv.net/programme/culture-infos/1967...

Il s'agit d'un retour vers les années 70, avec le projet d'une implantation d'une centrale nucléaire à la Pointe du Raz, et des luttes qui ont suivi jusqu'à l'abandon du projet en juin 1981.

https://www.lecinematographe.com/Plogoff-des-pierres-cont...

https://reporterre.net/EN-VIDEO-Plogoff-1980-l-intense-co...

https://archives.finistere.fr/histoires-animees/expositio...

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mardi, 27 décembre 2022

NOEL 1914 DANS LES TRANCHEES

Extrait du Journal de guerre de mon grand-père Arthur.

J'ai publié son Journal de guerre intégralement dans mon livre ARTHUR et MADELEINE paru chez TheBookEdition en 2012.

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"On repart aux Islettes le 21 novembre au matin. La neige tombe et tout le long du chemin on la reçoit en flocons serrés. Cela empêche les avions et les obus. C’est tout ce que l’on demande. On est vacciné pendant ce temps contre la typhoïde et beaucoup sont malades. Nous reprenons notre vie de famille avec le père Guillemin. Mais elle fût de courte durée.

Le 28 on repartait en réserve à la maison forestière où on travaille à faire des abris à la sapinière. Dans la nuit du 1er au 2 décembre, on reprenait les avant-postes à la Haute Chevauchée. Les tranchées sont près de celles de l’ennemi et pour aller au Commandant il faut suivre de longs boyaux sinueux et pendant la route les balles affluent. Leplus va souvent au court et je lui donne les rapports. Le Capitaine malade est resté aux Islettes et c’est le Lieutenant Kern qui reprend le commandement. Quelle barbe ! Toute la journée il ne cherche qu’à ennuyer tout le monde. Je m’y fais quand même. Tous les soirs avec Leplus, Rivière et Clément on se fait le chocolat au lait et on s’amuse bien malgré la proximité des boches. On fume des pipes, on fait des manilles. L’on passe ainsi le temps sauf quand Kern nous ennuie. Quelle vie que celle des tranchées. Il pleut et on est plein de boue. Toujours enterrés sans relâche. Quelle vie. Leplus connaît très bien l’Abbé Hazard et on cause ainsi comme de vieilles connaissances. Il a été son élève à l’école St Joseph. Leplus est sans nouvelles de sa famille depuis le début. Il est avocat à Lille. Quel bon chrétien !

On revient à la Sapinière les 10 et 11. On repart au 31ème (Soutrens) et arrivée le soir. La nuit se passe sous la pluie, une nuit noire sous les balles. Laudin est tué, 3 sont blessés.

Le lendemain on continue les tranchées sous la pluie. On est relevés le 13 et on repart à la Sapinière. On se repose. Arrive Raymond et des engagés et volontaires. Je suis content de revoir mon chef-adjudant Pecquemal. La cuisine est bonne, on se repose. A la source on fait le nettoyage.

Aux avant-postes le 17, première journée et embêtement avec Kern. On construit une casemate. On passe les soirées avec les agents de liaison. Dans les tranchées, la pluie et la boue. Leplus part aux éclaireurs. On bombarde les tranchées ennemies, des tranchées de 20 lignes. On joue aux cartes le soir, on fait des manilles.

Le 23 décembre, on pose des fils de fer à 5 sur la Haute Chevauchée. On entend le sifflement des balles.

Nous sommes relevés le 26, après le Réveillon du 24 où l’on boit du chocolat et où l’on rigole. En réserve au poste du Commandant, on fait les corvées. On se réveille à 6 heures. Il rentre tous les jours du ravitaillement et on a de nouveau des ennuis avec Kern.

Le 31, Kern part et Raymond est nommé sous-lieutenant. Nous sommes contents du départ de Kern. Mais en ce dernier jour de 1914, les corvées sont arrosées d’obus. Vermeren est tué et on a des blessés dans la tranchée ".

(Photos d'une feuille de houx que mon grand-père Arthur avait gardée dans un tiroir, en souvenir de NOEL 1914)

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mercredi, 28 septembre 2022

L'ABBAYE DE SYLVANES, dans le SUD AVEYRON

Il y a 6 ans exactement, j'étais en visite dans le sud de l'Aveyron, et plus exactement à l'Abbaye de Sylvanès, fondée en 1136 par Pons de l'Héras. C'est un abbaye Cistercienne.

Pour plus de renseignements :

https://sylvanes.com/

https://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_Sylvan%C3%A8s

Mes photos personnelles :

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mardi, 02 août 2022

C'EST l'HISTOIRE d'un HOMME...

C'est l'histoire d'un homme, actif militant de la lutte contre la vivisection (et autres luttes), qui voulait faire le tour du monde. Il construit son bateau vers 1970, au bord du Lez (Hérault) avec du matériel rudimentaire. Il voyage et vit dedans pendant 14 ans : Pays Bas, Belgique, Zélande, Italie, Espagne, Yougoslavie, Allemagne, Luxembourg. Il en construit 5 autres dans son jardin et les transporte à Palavas sur son camion. A 90 ans, depuis quelques années en maison de retraite à Palavas, en fauteuil roulant, Bernard a pu assister début juillet aux retrouvailles avec son sous-marin échoué depuis une quinzaine d'années et retiré à la mi-mai du Lez.

https://dis-leur.fr/portrait-le-capitaine-refait-surface-...

 


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vendredi, 10 juin 2022

MUSEE VILLA GALLO-ROMAINE de LOUPIAN (Hérault)

Le 25 mars 2013, j'étais allée visiter la Villa Gallo-Romaine de Loupian, près de Mèze, dans l'Hérault.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Villa_gallo-romaine_de_Loup...

A voir plus en détail sur ce blog :

https://amelier.blog4ever.com/la-riche-villa-gallo-romain...

 

Ci-dessous un extrait des photos que j'avais faites lors de ma visite.

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jeudi, 30 décembre 2021

LE MONDE MERVEILLEUX

Les légendes et croyances populaires sont une façon de raconter l'histoire, l'identité des habitants d'une région. Fées, lutins, géants, ogres, revenants ou sorcières jouent un rôle culturel bien précis. Les loups-garous peuvent errer dans des tourbières, les revenants peuvent hanter des falaises ou des marécages. Ces histoires incitent à éviter des endroits dangereux la nuit.

La Bretagne abrite de nombreuses fées.

La Provence est le pays des dragons.

Dans les Vosges ou les Ardennes, on parle de lutins qui transforment le bois en charbon de bois.

Le diable, par contre, construit des ponts dans tout l'Hexagone.

Le pouvoir des sorciers et des guérisseurs est partout.

Avant la christianisation de la Gaulle dans l'Empire Romain, les gens croyaient en des divinités et des génies de la nature (fées, lutins, géants...). Avec l'évangélisation, ceux qui s'adonnaient aux cultes anciens ont été excommuniés ou punis de châtiments corporels. Cependant, il n'a pas été fait table rase de tout. Entre le 9ème et 11 ème siècle, certains génies ont été christianisés donnant des saints officiels.

La frontière entre la magie et la religion n'est pas toujours claire. Mais la religion et la magie partagent l'idée selon laquelle il existe quelque chose après la mort. Certains croient aux revenants ou cherchent à entrer en contact avec les défunts via des médiums, lesquels affirment dialoguer avec eux.

Aujourd'hui comme autrefois, les croyances se construisent autour de nos us et coutumes, autour des "on dit".

Chamanes, médium, rebouteux... d'après différents sondages, près de la moitié des Français ont recours aux médecines douces et notamment aux guérisseurs-magnétiseurs. Il arrive que des magnétiseurs, ou des barreurs de feu, interviennent à l'hôpital (par exemple à Thonon les Bains ou Grenoble). L'initiative vient rarement des médecins, plutôt des infirmiers et infirmières ou des aides-soignantes qui font le lien avec les familles.

(Dominique CAMUS, chercheur à l'Université de Rennes II).

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lundi, 20 décembre 2021

LE CULTE DE MITHRA et le 25 DECEMBRE

Dans l'antique Rome, le 12 décembre est la fête des sigilaria qui consiste à échanger des cadeaux. Du 17 au 19 décembre se déroule la fête des saturnales.

Le culte de Mithra dans l'Empire romain, durant le IIème siècle avant notre ère, est un culte concurrent du christianisme. C'est un culte indo-iranien qui fait son apparition 2 000 ans avant Jésus Christ. Il est véhiculé par les pirates qui sévissent en Méditerranée au Ier siècle avant J. C. Mithra est né d'une pierre appelée "Petra Generatrix" à la date du 25 décembre. Nous ne connaissons pas le rituel d'initiation. L'archéologie a révélé de nombreuses effigies et lieux de sanctuaires appelés "Mithraeum". Lieux de culte répandus dans tout l'Empire avec aussi des traces sous les églises de Santa Prisca et San Clemente.

Mithra est associé au soleil et la lune et son culte secret exclut les femmes et les esclaves. Mithra est représenté en tenue Perse sacrifiant un taureau. Il y a 7 grades d'initiations : le corbeau, le marié, le lion, le soldat, le soleil, le perse et le Pater (Père).

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Les Mithraeum se trouvent dans des pièces souterraines ou des grottes.

A la fin du IIIème siècle, on compte autant d'adeptes de Mithra que de chrétiens. L'empereur Aurélien associe ce culte au culte du "Sol invictus", le soleil invincible. Le 25 décembre deviendra ensuite Natalis, Natale, Noël.

Au IVème siècle sous le règne de l'Empereur Théodose (379-394), le christianisme devient culte définitif officiel. Dès lors le culte Mithra est interdit et les sanctuaires ravagés. Dans les Alpes, au Vème siècle, des traces de persistance du culte Mithra sont attestées.

Les chrétiens adoptent le 25 décembre comme jour de la naissance de Jésus Christ. Il est prouvé que les fêtes autrefois païennes furent reprises par le culte chrétien, comme certains lieux de cultes.

(Joël Beyaert)