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samedi, 02 septembre 2023

SEPTEMBRE

Quelques photos prises tôt ce matin au jardin.

Septembre est là. Les topinambours commencent à fleurir près des pétunias que j'avais semés en avril et qui terminent leur vie.

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Les fleurs d'hibiscus sont encore ouvertes.

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Les belles de nuit ont pris de l'ampleur tardivement. Elles sont actuellement à leur maximum.

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Je n'ai pas trouvé de chenilles de Pyrale dans mes buis. Par contre mon piège à phéromones a récolté une vingtaine de papillons. Les papillons peuvent faire plusieurs kilomètres pour trouver des buis.

En relevant tous les jours la température, depuis le 1er mai, au thermomètre de la fenêtre de ma cuisine, j'ai noté :

EN MAI : 7 jours de 28° à 31 °.

EN JUIN : 15 jours de 29 ° à 36 °.

EN JUILLET : 29 jours de 29° à 35 °.

EN AOUT : 22 jours de 29° à 38 °.

Ce qui fait 84 jours de 28° à 38 °, alors que l'année dernière nous avions eu 90 jours de 28° à 41°.

J'ai compté que depuis le 1er janvier j'ai travaillé 73 heures, environ, au jardin.

 

 

mardi, 22 août 2023

PLEIN ETE

Les feuilles jaunies tombées,

La pluie se fait attendre.

Les volets restent fermés.

Qu'est-ce que tu veux comprendre ?

Les pierres chauffent au soleil

Les serpents glissent entre elles

Les rues et places se vident.

Dans les soirées rapides

Le soleil se fait timide.

Sous le soleil torride

Les fleurs tombent fanées

Leur mort est programmée

Comme à l'accoutumée.

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lundi, 19 décembre 2022

UN PEU DE CHALEUR

Nous devions avoir une coupure d'électricité (pour cause de travaux de voirie) dans la rue, en bas de mon lotissement, aujourd'hui. J'avais trié du bois il y a une semaine et l'avais mis au sec dans l'abri de jardin (car il pleut certains jours). Dimanche matin, j'ai amené deux cageots de bois au garage. J'ai allumé la cheminée ce matin tôt. Il n'y a pas eu de coupure d'électricité...  mais j'ai profité de la chaleur du feu.

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lundi, 05 juillet 2021

AU JARDIN CE MATIN

Les figues sont déjà mûres depuis 10 jours, elles sont en avance d'un bon mois cette année.

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Les hibiscus sont nombreux dans mes 3 arbustes.

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J'ai réussi à garder ce pied de petits pétunias, durant l'hiver, au garage. Une chance car j'avais deux pieds et l'autre n'a pas résisté.

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Une plante grasse que j'ai achetée il y a 3 ans au supermarché va fleurir. Son nom est ECHEVERIA NEON BREAKERS.

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mercredi, 09 juin 2021

AU JARDIN CETTE SEMAINE

Après avoir passé l'après midi à mettre en service la piscine jeudi dernier, le temps est devenu estival. Les baignades ont commencé.

Tous les soirs je suis au jardin, je taille, je coupe, je surveille, je balaye les feuilles qui tombent nombreuses sous mon bourdaine, et j'arrose les plantes qui ont très soif sous le soleil de plomb.

Aujourd'hui j'ai récolté les fraises tôt le matin, à l'ombre (il a fait 31 ° hier). Il s'agit de la 11ème récolte de l'année.

La rhubarbe se développe bien au fond du jardin.

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La lavande fait le bonheur de tous les insectes butineurs.

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Les aloés vera ont terminé leur floraison, j'ai coupé leurs tiges hier soir.

Les lilas d'Espagne et les tritomas demandent aussi une coupe au fur et à mesure de la disparition des fleurs.

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mardi, 23 juin 2020

AOUT 1963

Maman nous permet aujourd'hui d'aller nous baigner à la piscine municipale. Il fait encore très beau mais la chaleur est lourde. Elle nous donne notre sac de plage, celui que nous avions pour partir en Bretagne, le mois dernier. Nous voulons encore profiter des vacances. Arrivés à la piscine, nous nous déshabillons dans les petites cabines individuelles. Les portes sont en bois, peintes en bleu. Elles laissent passer un peu d'air en haut et en bas. En sortant de la cabine, je vois les garçons qui se chamaillent dans l'eau. Je n'aime pas trop. Mes soeurs sont déjà prêtes à plonger. Moi j'hésite. Nous entendons au loin le tonnerre gronder. Les nuages d'orage arrivent à l'horizon. Nous voulons rester encore un peu. Je commence à me mouiller et à profiter de l'eau qui sent, malgré tout, un peu trop le chlore. Et nous jouons à nous jeter de l'eau sur les épaules et le visage. Quand les nuages arrivent au-dessus de la route, nous sortons de l'eau pour nous essuyer et rentrons dans les cabines nous rhabiller. Car le soleil s'en est allé et il commence à faire frais. Nous courons vers la maison avec nos sacs. Nous trouvons maman très inquiète. Elle nous gronde car nous aurions dû rentrer plus tôt. Elle nous explique que c'est dangereux de rester dans l'eau par ce temps. Moi, je monte dans ma chambre pour me recoiffer et me sécher les cheveux en regrettant l'attitude de maman.

(Deux photos de la piscine municipale de mon enfance, et sa situation par rapport à ma ville de naissance, dans les années 60. Je devais traverser le canal pour y aller car j'habitais de l'autre côté).

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vendredi, 05 juillet 2019

LE COUP DE CHALUMEAU dans les vignes du Midi

Texte de Catherine Bernard, vigneronne dans l'Hérault.

" Le coup de chalumeau dans les vignes du Midi n’est pas une calamité agricole.

Je suis vigneronne.
Je n’écris pas en qualité de vigneronne.
Je n’écris pas non plus en qualité de vigneronne victime d’une calamité agricole, d’une catastrophe naturelle ou d’un accident climatique. Ce qui s’est produit dans les vignes du Gard et de l’Hérault vendredi 29 juin, est d’une tout autre nature, d’un tout ordre, ou plus exactement d’un tout autre désordre.
J’écris en qualité de témoin du changement climatique à l’œuvre, qui est en fait un bouleversement, qui ne concerne pas ici des vignerons, là des arboriculteurs, hier des pêcheurs, demain des Parisiens asphyxiés, mais bien tous, citadins ou ruraux, habitants du Sud comme du Nord, de l’Ouest, ou de l’Est.
J’écris en qualité d’hôte de la terre. Nous sommes chacun, individuellement, interdépendants les uns des autres.
J’étais vendredi matin dans les vignes pour faire un tour d’inspection des troupes et ramasser des abricots dans la haie de fruitiers que j’ai plantée en 2010 entre les terret et les cinsault. Il faisait déjà très chaud. Je ne sais pas combien, je ne veux pas ouvrir le livre des records. Je suis rentrée au frais, et je me suis plongée dans la lecture d’un livre passionnant, La vigne et ses plantes compagnes de Léa et Yves Darricau. J’ai repoussé la plantation de 30 ares de vignes à l’origine programmée pour cette année, à plus tard, à quand je saurai comment et quoi planter. Je cherche. A 18 heures, Laurent, mon voisin de vignes avec qui je fais de l’entraide, m’appelle :
- Là-haut à Pioch Long, les syrah sont brûlées.
- Comment ça brûlées ?
- Oui, brûlées, les feuilles, les raisins, comme si on les avait passé au chalumeau.
J’ai pris ma voiture, et je suis allée dans les vignes. Quand j’ai vu à La Carbonelle, les grenaches, feuilles et grappes brûlées, grillées, par zones, sur la pente du coteau exposée sud-ouest, je n’ai pas pensé à la perte de la récolte. J’ai vu que certaines étaient mortes, que d’autres ne survivraient pas. Il faisait encore très très chaud et j’ai été parcourue de frissons. La pensée m’a traversée que c’était là l’annonce de la fin de l’ère climatique que nous connaissons, la manifestation de la limite de l’hospitalité de la terre. Puis je suis passée sur le plateau de Saint-Christol, là où depuis le XIIème siècle l’homme a planté des vignes pour qu’elles bénéficient pleinement des bienfaits du soleil et du vent. Et là, à droite, à gauche, j’ai vu des parcelles de vignes brûlées, grillées dans leur quasi totalité.
Il y aura des voix, celles des porte-parole des vignerons, chambre d’agriculture, représentants des AOC, et c’est leur rôle, pour évaluer les pertes de récolte, la mortalité des ceps, et demander des indemnisations.
Il y aura les voix invalidantes de la culpabilité, celle des gestes que l’on a faits dans la vigne les jours précédents et que l’on n’aurait peut-être pas dû faire, ou ceux que l’on n’a pas faits et que l’on aurait dû faire. Et si j’aurais su…. A ceux-là, je réponds, les si n’aiment pas les rais.
Il y aura des voix pour dire qu’à cela ne tienne, on va généraliser l’irrigation, et si cela ne suffit pas, eh bien on plantera des vignes, plus haut dans le Nord, ailleurs. Peut-être même y en aura-t-il pour s’en réjouir. A ceux-là, je réponds qu’ils sont, au mieux des autruches, au pire des cyniques absolus et immoraux, dans les deux cas des abrutis aveugles.
Ce qui s’est produit ce vendredi 29 juin dans les vignes du Midi, est un avertissement, un carton rouge. Ce n’est pas seulement les conséquences d’un phénomène caniculaire isolé doublé d’un vent brûlant, mais la résultante de trois années successives de stress hydrique causé par des chaleurs intenses et de longues périodes de sécheresse qui, année après année, comme nous prenons chaque année des rides, ont affaibli les vignes, touchant ce vendredi 29 juin, celles qui étaient plantées dans ce qui était jusqu’alors considéré comme les meilleurs terroirs. C’est aussi la résultante d’un demi-siècle de pratiques anagronomiques.
La Carbonelle est plantée de vignes depuis 1578. C’est un mamelon en forme de parallélogramme bien exposé au vent et soleil. Ce qui s’est passé le 29 juin, dit que l’ordre des choses s’est littéralement inversé. Le vent et soleil ne sont plus des alliés de l’homme. La solution de l’irrigation est la prolongation d’un défi prométhéen. On se souviendra qu’il lui arrive quelques bricoles à Prométhée. Cela dit aussi que le changement va plus vite que la science agronomique et ses recherches appliquées, cela nous précipite dans un inconnu. Il nous faut radicalement changer notre rapport à la terre, ne plus nous en considérer comme des maîtres, mais des hôtes, que l’on soit paysan ou citadin.
Ceux qui voudraient circonscrire à la viticulture du Midi ce qui s’est produit le 29 juin s’illusionnent. Le phylloxéra a été identifié en 1868 à Pujaud dans le Gard. Les vignerons des autres régions ont cru ou feint de croire qu’ils seraient épargnés. En 1880, le puceron avait éradiqué la totalité du vignoble français, et gagné toute l’Europe. Le phylloxéra était lui-même la « récompense » de notre quête du mieux, du plus. Il a été à l’origine de la seule grande émigration française et d’une reconstruction du vignoble qui a profondément changé l’équilibre même de la vigne. Nous en sommes les héritiers directs.
Ceux qui voudraient circonscrire le phénomène à la viticulture se dupent aussi. La vigne nous accompagne, sur notre territoire, depuis plus de deux millénaires, et l’homme depuis plus de 6 000 ans. Sa culture est tout à la fois un pilier et un symbole de notre civilisation. Si la vigne n’a plus sa place dans le Midi, l’homme ne l’aura pas davantage car le soleil et le vent seront brûlure sur sa peau.
Nous, vignerons, devons en tout premier lieu renouer avec la dimension métaphysique de notre lien à la terre et alors, nous pourrons changer radicalement nos pratiques. Mais il faudra autant de temps pour retricoter ce que nous avons détricoté. L’œuvre elle-même est vaine si par ailleurs, nous, vous, moi continuons à prendre l’avion comme nous allons promener le chien, goûtons aux fruits exotiques comme si on les cueillait sur l’arbre, mettons la capsule dans la machine à café comme un timbre sur une lettre, ainsi de suite. Ce que les vignes disent, c’est que notre civilisation elle-même est menacée.
Les abeilles l’ont aussi dit, avant la vigne. Mais nous ne les avons pas entendues. "

Catherine Bernard

dimanche, 30 juin 2019

WEEK END

Dans mon sud, près de Montpellier, il a fait ce vendredi 47 ° à l'ombre.

Tout le monde souffre de ces fortes chaleurs.

Mon camélia (je l'ai depuis plus de 20 ans) et mes bégonias ont été brûlés par le feu du soleil et de la forte chaleur. C'est la 1ère fois que je vois ça, j'habite dans le midi depuis 1975 !

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Samedi soir, nous avons fait la fête avec nos 7 voisins, plus un couple d'amis de nos voisins. Nous avons reculé d'une heure l'apéritif en raison de la canicule. Il a fait un peu moins chaud cette nuit là (22 °).

Je vous souhaite un bel été et de belles vacances.

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mercredi, 08 août 2018

A ESSAYER

Si vous avez déjà le matériel (ventilateur, cache volant de voiture, tuyau plastique, quelques vis), pourquoi ne pas essayer en ces jours de fortes chaleurs ?

Je n'ai pas essayé moi-même mais j'ai le matériel, sauf le tuyau plastique... Cela ne coûte rien ou presque.


lundi, 09 juillet 2018

IL FAIT TRES CHAUD

Il fait très chaud en ce moment, alors je ne sors que tôt le matin et en fin d'après midi pour me baigner. Il commence à faire sec, il faut bien arroser.

Je fais un tour au jardin pour voir mes fleurs et balayer les dalles : achillées, tournesols, laurier rose (qu'il faut traiter contre les pucerons), et les autres fleurs comme les bégonias, les gaillardes, les verveines, les pétunias, la rose trémière, les ficoïdes et tout ce qui fait le bonheur.

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