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lundi, 09 juillet 2007

REMERCIEMENTS

87bf6b8a034f7f113a7cbaac1d741a6d.jpgJe tenais à remercier Marc, mon professeur de guitare qui m'a aidée à progresser pendant 10 années, de 1989 à 1999.

Toujours d'humeur égale, il m'a donné de nombreux conseils, m'a permis de supprimer quelques défauts dus à ma pratique autodidacte. Ses cours toujours vivants m'ont beaucoup apporté. Je continue à pratiquer de façon inégale mais j'espère pouvoir me perfectionner encore. Il me faut trouver le temps. Il faut savoir que l'apprentissage dure toute la vie....

(mon professeur est celui debout, habillé en blanc)

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lundi, 02 juillet 2007

LE SITAR, un cousin de la guitare

cd46b6fb82145d143e9cb294e21ae511.jpgIl n'est pas aisé de comprendre un instrument comme le sitar si l'on ne s'imprègne pas un tant soit peu de la nature de la musique indienne.

Dans la musique occidentale on trouve en 1er lieu la mélodie, en second lieu le rythme et en 3ème lieu l'harmonie. En Inde, point d'harmonie ni de contrepoint non plus de modulation. Lorsqu'un artiste exécute un morceau, il n'y exprime qu'un seul état d'âme, aussi approfondi que possible. La musique indienne est tonale, une fois une pièce commencée, on n'en modifie jamais la note fondamentale. C'est le fruit d'une tradition aujourd'hui quatre fois millénaire.

Les pièces musicales qui se jouent au sitar se nomment des ragas.

Or Ravi SHANKAR définit très justement un raga comme une projection esthétique de la personnalité profonde de l'artiste.

(Voir la leçon de Ravi Shankar à Georges Harrison)

http://fr.youtube.com/watch?v=erLZ-zW9Ti4

 

Trois particularités distinguent les instruments à cordes indiens. Le chevalet plat est une invention que l'on ne retrouve sur aucun autre continent.

Les barrettes du manche sont mobiles et bombées. Le déplacement des barrettes permet d'accorder l'instrument selon le raga choisi. En poussant sur la corde sans changer de case, il est possible de monter de cinq notes.

Enfin, les instruments indiens sont pourvus de bourdons, c'est-à-dire de notes qui sonnent continuellement le long du morceau ; ces notes sont habituellement au nombre de deux, la fondamentale et une autre note essentielle du raga.

caacea24103df663e2a16eaec8723ed9.jpgA l'exception des barrettes mobiles, la Veena correspond à la définition d'un instrument type de l'Inde. Depuis le VII è siècle et jusqu'à nos jours, la Veena, sous différents noms selon sa provenance - on l'appelle Binh au Nord et ses particularités Vichitra Veena  du Nord, Gottavadyam du Sud - est restée identique à elle-même. Le manche est plein et porte les barrettes hautes, collées à la cire. Ce manche repose sur deux ou trois calebasses évidées qui forme caisse de résonance. Le nombre de cordes a varié mais comporte au moins 4 ou 5 cordes mélodiques, 2 ou 3 bourdons et parfois des cordes harmoniques au nombre de 11. Les Veena avaient fréquemment la forme d'animaux, tortues, crocodiles, paon... La calebasse pouvait être sphérique ou aplatie. Le jeu à l'archet semble avoir été souvent pratiqué mais c'est principalement aux doigts que sont pincées les cordes.

Il semble incontestable que le sitar soit issu de la Veena mais les Indiens, aimant mélanger les légendes et l'histoire, trouvent d'autres origines à cet instrument.

207b96539abbbe3debf93b718ac57e76.jpgAinsi, il existe beaucoup d'anecdotes et légendes à propos d'un musicien nommé Amir Khusru. Excellent chanteur et musicien, il ne laissait jamais une occasion de faire valoir ses dons et surtout, savait à merveille s'approprier les trouvailles stylistiques des autres, dont celles de Gopal Nayaka, son rival à la cour du même empereur Alla ud din. La croyance populaire lui attribue l'invention du sitar.

Il est vrai que sa contribution à la musique est importante mais nulle part il n'y est fait allusion à un sitar. Le 1er à avoir écrit qu'Azrat Amir Khusru fut l'inventeur du sitar est le Captain Willard en 1838 dans son livre Music or Hindustan. Depuis, cela ne semble gêner personne de trouver trace du sitar que 2 ou 3 siècles après son présumé inventeur ! Il est plausible que Khusru ait fait évoluer la Veena en inversant l'ordre des cordes graves et aiguës. Surtout il a remplacé le sanscrit, langue sacrée, par le hindi. Une autre proposition est que ce sitar serait issu du Seh Tar (3 cordes) iranien. Si phonétiquement cela se comprend, il suffit de regarder les 2 instruments pour voir que les différences sont telles qu'il est impensable qu'une évolution même lente ait pu passer de l'un à l'autre.

Reste l'hypothèse plus simple que le sitar est bien issu de la Veena.

ed568c3dcfbf18a9725af35e2420c374.jpgLes meilleurs sitars sont bien entendu fabriqués en Inde par des luthiers. Il existe des sitars de différentes tailles. Les petits sont réservés aux femmes, les moyens, les plus courants et les sitars basses, beaucoup plus grands et difficiles à jouer.

Technique de jeu

a8b9a6a97c0ebd69fafed737a7d9105b.jpgTraditionnellement les musiciens indiens pratiquent leur art assis sur le sol. La position pour le sitar est un peu particulière. La caisse de résonance est posée sur la plante du pied gauche et la base du manche repose sur le milieu de la cuisse droite. La jambe droite étant croisée par-dessus la jambe gauche. Le plan de la table est perpendiculaire au sol et le manche est incliné environ à 45 degrés. Ce n'est pas la main gauche qui le soutient, elle doit rester parfaitement libre de ses mouvements. Le bras droit passe au-dessus de la caisse et le pouce droit vient s'appuyer fermement sur la base du manche. La main gauche glisse sous le manche, les cordes sont appuyées surtout par l'index et le majeur. Les cordes sont pincées à l'aide de l'index de la main droite. Celui-ci est muni d'un plectre spécial, le Mizrab en fil de fer, qui serre le doigt. L'apprentissage dure plusieurs années et demande une pratique quotidienne de plusieurs heures. Un musicien indien consacre toute sa vie à la musique.

Quelques musiciens

b58668a17c55a879ac7ac70276c999aa.jpgUSTAD VILAYAT KHAN : probablement le plus grand virtuose.

RAVI SHANKAR à qui l'on doit la reconnaissance du sitar de par le monde et qui sans doute le rendit populaire au-delà de toute espérance. Surtout depuis 1966 lorsque Georges HARRISON fit appel à lui pour prendre des cours et la rencontre avec YEHUDI MENUHIN qui concrétisa le rapprochement entre les musiques indienne et occidentale.

PANDIT NIKHIL BARNERJEE : sitariste qui eut également pour maître BABA et dont le style semble être une synthèse des 2 musiciens précédents.

USTAD ADHUL HALIM JAFFAR KHAN et PANDIT BALARAM PATHAK ne pas très connus hors de l'Inde et pourtant chacun d'eux possède un style unique remarquable.

NARENDA BATAJU, Népalais arrivé en France en 1972. Malgré sa cécité, il exerça une activité soutenue.

PRAMOD JUMAR qui jouait souvent au Centre Mandapa à PARIS

STEVE LECLER

JEAN CLAUDE BONVAVENTURE.

06:55 Publié dans guitare | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : Culture, musique, guitare

mardi, 26 juin 2007

TROIS CD de GUITARE

RY COODER  "MY NAME IS BUDDY"

Avec cet album, Ry Cooder revisite via de nouvelles compositions, le son des "Dustbowl ballads" de GUTHRIE, SEEGER, SONNY TERRY et LEADBELLY.

Prenant comme point de départ l'odysée d'un chat errant, il décrit un monde en train de disparaître, emporté par les tempêtes, pas toujours météorologiques, qui balayent le monde aujourd'hui. Mais quelle merveilleuse musique cela laisse sur les pistes poussiéreuses !

Le banjo de Pete et Mike SEEGER dans "Suit case in my hand", l'accordéon de Flaco JIMENEZ  sur "Footprints in the snow", la guitare de Ryland COODER qui sonne comme un tube sur "Red cat till I die". Il y a aussi les voix soul de Bobby KING et Terry EVANS dans "Sundown Town", le son hyper moderne de "Three chords and the thruth".

Un véritable film ou cartoon que l'on peut suivre plan par plan. Le plus remarquable étant "One cat, One vote, One beer" où le chat devient de plus en plus triste après chaque bière, ses pleurs soulignés par la trompette du jazzman, Jon HASSEL.

ANGELIQUE IONATOS a enregistré de nombreux albums construisant ses chansons sur des poèmes. Derrière la chanteuse amoureuse de poésie, se cache une grande guitariste.

Dans son nouvel album, "Eros y Muerte" (amour et mort), Angélique Ionatos alterne 11 poèmes en GREC, FRANCAIS et ESPAGNOL. Les trois langues qui ont façonné sa culture : langue maternelle, d'adoption et celle du rêve.

Mis en musique par Angélique, les chants d'amour de Pablo NERUDA, la douleur de Kostis PALAMAS, pleurant la mort de son enfant, le noir "Matin d'avril" de Kostas KARYOTAKIS, "L'empreinte radieuse" de Anna de NOAILLES, semblent se répondre au-delà des différences linguistiques, en un dialogue secret installé par une voix profonde et irréelle. La magie opère à nouveau au son des cordes ou du bandoneon, au fil des notes subtiles de la guitare, cette même guitare, précise et surprenante, qu'Angélique IONATOS étreint depuis 1976 dans son premier album solo "I Palami sou".

Cette guitare qui n'accompagne que l'extraordinaire, dans des harmonies ouvertes et étonnantes d'expressivité au point qu'au bout de l'album "Eros y Muerte", toute l'émotion vous aura pénétré au plus profond. Et vous aurez hâte de reprendre ce voyage empreint des joies et des douleurs du monde chantées parla voix d'une déesse grecque.

MARCEL DADI "HOMMAGE"

Cette réédition du double CD "Marcel DADI Hommage" rappelle l'influence musicale immense qu'a eu ce personnage éminemment charismatique qu'était Marcel DADI, disparu en juillet 1996 à l'âge de 45 ans.

Les stars de la guitare sont là, tous styles confondus. Du picking de Michel HAUMONT, au monde classique et au-delà de Roland DYENS, du swing de ROMANE au jazz de Sacha DISTEL ou Larry CORYELL, de Pierre BENSUSAN au duo mythique de LOS INDIOS TABAJARAS, tous interprètent une composition de Marcel revisitée par leurs soins.

Qu'ils en soient les héritiers, les ainés ou les amis, on sent l'émotion et le respect tout au long des notes qu'ils envoient vers le ciel comme un hommage permanent et sans cesse répété. Le grand mélodiste qu'était Marcel DADI existe bel et bien toujours sous les doigts et dans la culture des grands artistes du monde.

07:15 Publié dans guitare | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : Culture, musique, guitare

dimanche, 10 juin 2007

JOHN DENVER

http://dailymotion.com/video/x22x3h_john-denver-rocky-mou...

http://dailymotion.com/video/x22p6n_john-denver-cas-ellio...

http://dailymotion.com/video/x1l2bn_john-denver-darcy-far...

 

 

John DENVER est né à Roswell (nouveau Mexique). Son père était instructeur dans l'armée de l'air des Etats Unis. Son goût pour jouer de la musique est venu à l'âge de 12 ans quand sa grand mère lui a donné une guitare accoustique Gibson de 1910.

En 1964, il laisse tomber l'Université et rejoint un trio, Chad Mitchell Trio, un groupe de musique folklorique.

En 1969, il quitte le groupe pour poursuivre en solo et sort son premier album Rhymes and Reasons (des rimes et des raisons).

Il connait une carrière mineure en tant qu'acteur . Son film le plus connu est "Oh God !" en 1977.

John DENVER est connu également pour son travail humanitaire. Il a aidé à un refuge national en Alaska. Il a fondé son propre groupe environnemental : Windstar Foundation.

Il s'intéresse à la lutte contre la famine en Afrique dans les années 80.

Compositeur, il est très populaire dans le monde. Ses mélodies douces, sa guitare élégante et son interprétation soul du lyrique le met au rang des chanteurs occidentaux largement connus dans le monde non-européen (Afrique, Inde, Asie du Sud-Est).

Pilote expérimenté, Denver a possédé et piloté ses propres Lear Jet et a pratiqué le vol accrobatique.

Le 12 octobre 1997, sa passion pour l'air lui a coûté la vie. Il s'est abimé dans l'Océan avec son Rutan Long EZ.

vendredi, 08 juin 2007

A MAN NEEDS A MAID

http://youtube.com/watch?v=eNHet308wYA

Bonne écoute.... j'espère que vous aimez,

que vous aimerez si vous ne connaissez pas encore.

14:55 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : Culture, musique, guitare

mardi, 22 mai 2007

NOTE DE MUSIQUE PERSONNELLE

Je vous propose d'écouter un morceau en 2 parties que je viens d'enregistrer à la guitare cet après-midi.

Je vous rappelle que j'enregistre avec les moyens que je possède d'où le son un peu faible. Veuillez m'en excuser.

Ce morceau est intitulé ALL THE THINGS YOU ARE (toutes les choses que tu es ou tout ce que tu es) de Oscar HAMMERSTEIN et Jérome KERN. C'est une ballade Jazz composée en 1939.

Il m'a été donné par mon professeur la dernière année où je prenais de cours. Je vous souhaite une bonne écoute.

 podcast



podcast

mardi, 01 mai 2007

LINDA RONDSTADT

Linda RONDSTADT est née le 15.07.46 à Tucson en Arizona. Son père, d'origine mexicaine et allemande est musicien amateur. Il joue de la guitare et chante dans les bars locaux avec des orchestres mexicains. Il essaye de lui faire aimer différents styles de musique. A l'âge de 3 ans, Linda écoute les chansons à la radio et les accompagne avec un ukulele.

A 18 ans, elle quite l'Arizona pour Los Angeles et forme un groupe Pop blues électrique avec 4 musiciens qui n'eut pas de succès, STONE PONEY, devenu ensuite un trio. Leur 1er album fut un échec. Après deux tournées, le groupe se sépare.

En avril 1970, Linda enregistre à Nashville un album qu'elle dit détester. Elle choisi alors de réactualiser des thèmes de country et western en reprenant Bob Dylan, Randy Newman, Jackson Browne ou Bernie Leadon.

En décembre 1971, son nouvel album connait un petit succès avec Rock me on the water de Jackson Browne.

Ses musiciens la quittent au bout de 6 mois pour former LES EAGLES.

En 1974, elle rencontre Peter ASHER qui produit son 1er album pour elle seule : Heart like a wheel qui fut un succès. (You're no good - When will I be loved).

En 1975, elle retourne en studio avec Peter ASHER pour enregistrer PRISONER IN DISGUISE qui devint disque de platine.

En décembre 1975, elle enregistre avec Dolly Parton et Emmylou Harris pour Noël un disque simple.

En 1976, avec HASTEN DOWN THE WIND, elle arrive dans tous les hits américains.

http://youtube.com/watch?v=QJxLUsZAJPY

http://youtube.com/watch?v=603WlaP_jpM

En décembre 1976, son premier Greatest Hits connait un important succès.

Dans son pays, elle accumule les récompenses prestigieuses. Elle reprend les chansons d'Elvis Presley, Smokey Robinson, Elvis Costello, Chuck Berry ...

En 1981, elle fait ses débuts dans une comédie musicale à Broadway, THE PIRATES OF PENZANCE.

En octobre 82, elle publie son dernier album de Pop, GET CLOSER et en septembre 83 elle reprend des standards américains (Georges Gershwin, Rodgers et Hart, Irvin Berlin et autres musiques que son père lui avait fait découvrir enfant).

Deux albums suivent en 1984 et 1986 : LUSH LIFE et FOR SENTIMENTAL REASONS.

En 1987, CANCIONES DE MI PRADE lui vaudra un Grammy Award.

En 1991, elle sort MAS CANCIONES.

En 1992, FRENESI (disque de latin jazz).

Linda a vendu plus de 60 millions d'albums et a reçu 10 Grammy Awards.

lundi, 23 avril 2007

PETIT COURS

http://youtube.com/watch?v=2Q3817784vM

 

Un petit moment d'humour avec cette leçon de guitare sommaire.

Je n'ai jamais pris de cours de guitare de ce genre. Mon professeur et moi étions sérieux.

Je prends soin de cet instrument. 

Une guitare, on ne peut pas en acheter une tous les jours...

22:55 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : Humour, guitare

dimanche, 15 avril 2007

JONI MITCHELL

http://youtube.com/watch?v=9RrUBTxzcXI

 

Joni Mitchell est née le 07/11/43 à Fort MacLeod au Canada. Elle est musicienne et peintre.

Elle pratique le piano, la guitare et le ukulélé depuis son enfance. Elle débute en chantant dans les cafés et clubs folk.

Dans les années 60, les chansons de ses deux 1ers albums sont de type folk.

Dans les années 71, sa chanson For free parle des avantages et de inconvénients de la célébrité.

C'est la période où elle se sépare du musicien, Graham Nash.

Ses chansons parlent des différents facettes de la relation amoureuse, de la passion. Elle produit ensuite des disques largement influencés par le jazz vers 1975.

Dans les années 80, elle aura moins de succès, son écriture est plus pop.

Dans les années 90, elle reçoit plusieurs Grammy Award.

Les années 2000 : elle est très critique vis-à-vis de l'industrie musicale actuelle. Elle pense se consacrer à la peinture et cesser sa carrière musicale mais enregistre 2 disques magnifiques en 2000 et 2002 (Both sides now et Travelogue). Elle reçoit un Grammy Award en 2002.

Début 2007, elle annonce son retour avec Shine, album qui devrait paraître à l'automne où elle s'inspire de la guerre en Irak et de son petit fils.

http://youtube.com/watch?v=b1maMi4FcRs

http://youtube.com/watch?v=LSwg7buGu5I

 

 

 

 

22:00 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : Musique, guitare, culture

jeudi, 12 avril 2007

JAMES TAYLOR (James VERNON TAYLOR) et CAROLE KING

http://www.dailymotion.com/video/xchnz_james-taylor-carol...

 

James TAYLOR est né le 12 mars 1948 à BOSTON. Il est auteur-compositeur-interprète de musique folk rock.

Il a grandi en Caroline du Nord où il joue de la guitare, inspiré par la musique de Woody Guthrie.

En 1968, il enregistre son 1er album intitulé James Taylor.

En 1969, il est victime d'un accident de moto qui lui brise les 2 mains. Il est alors incapable de jouer pendant plusieurs mois.

En 1971, il reçoit un Grammy Award pour sa version de la chanson You've got a friend de Carole King.

Carole King est née le 09 février 1942 à Brooklyn New York.

Elle est chanteuse, compositrice et musicienne. Elle joue principalement du piano.

Elle connut le succès avec un excellent album TAPESTRY en 1971 (11 millions d'exemplaires vendus).

http://www.dailymotion.com/video/xzqxi_its-too-late-carol...

 

13:30 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : Culture, musique, guitare