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samedi, 16 novembre 2013

Un texte que j'avais écrit il y a quelques mois et que j'ai remanié.

 

AU PAYS D’ADELIS

 

Un mouchoir blanc tombé sur le bord du chemin attira l’attention d’Aya qui suivait la route des étoiles. Elle s’arrêta et ramassa l’objet plié en quatre. Elle vit un Z finement brodé de fils d’argent en son centre. Elle déplia le mouchoir et l’approcha de son visage. Il sentait la bergamote. Elle regarda autour d’elle mais ne vit personne. Que faire ? Elle le rangea dans sa poche et continua sa route car le temps passait et elle devait avancer.

Seule sa robe blanche éclairait la nuit ; elle se sentait perdue.

 

Au bout d’une heure de marche elle aperçu enfin sur le côté une vive lumière lointaine. Elle décidait de marcher dans sa direction. Autour d’elle tout était noir et vide. Elle n’entendait aucun bruit, ne voyait pas le moindre être vivant. Elle avançait longtemps avant de distinguer que la vive lumière lointaine était une oasis orange, une sorte de bulle éclairée au milieu des ténèbres. Elle se posait des tas de questions en marchant vers cet étrange lieu.

 

Au fur et à mesure qu’elle avançait, elle apercevait au loin un tapis de fleurs jaunes et une cascade illuminée se déversant dans une sorte de bassin rocheux. Aucun arbre, seulement des fleurs jaunes tapissant le sol sableux. Elle entendait quelques oiseaux chanter au loin mais elle ne les voyait pas. Et la cascade frémissante continuait doucement de se déverser dans le bassin, ce qui éloigna son angoisse de la journée. Elle regarda autour d’elle : personne encore une fois.

 

Fatiguée, elle s’allongea sur le tapis de fleurs quand un perroquet se posa devant elle et demanda :

 

-         qui es-tu ? qui es-tu ?

 

-         Je viens de la planète terre, je me suis perdue…

 

Et le perroquet lui cria :

 

-         qui es-tu ? qui es-tu ?

 

-         mon nom ne vous dira pas grand chose, bel oiseau…

 

Tout à coup elle vit le bassin s’entrouvrir. Une grande dame blonde apparut au milieu de la cascade.

 

Elle lui dit :

 

-         Bienvenue au pays de Zénia ! Comment es-tu arrivée ici ?

 

-         Je me suis perdue, je voudrais retourner chez moi, mais je ne sais comment retrouver mon chemin dans la nuit.

 

-         Ce n’est pas la première fois que je vois des étrangers se perdre par ici… si tu veux retourner dans ton pays, tu dois me suivre ; je t’indiquerai le chemin plus tard. Je dois te présenter à notre Maître… suis-moi.

 

Elle lui tendit la main et l’attira dans le bassin où elle fut aspirée dans les profondeurs…

 

La descente dura quelques secondes ; elle était effrayée.

 

Elle entendit au loin une voix qui lui parlait, une voix douce qui l’accompagnait dans ce voyage inattendu. Elle tomba enfin sur un lit de pétales de fleurs roses. Une main prit la sienne. Elle leva les yeux. Devant elle un beau jeune homme brun habillé d’un costume blanc et or lui souriait.

 

Il lui dit :

 

-         Bienvenue dans mon royaume, je m’appelle Adelis. Je sais qui tu es, on m’a prévenu. Monte dans cette barque, je t’emmène !

 

Surprise, elle resta sans bouger en regardant autour d’elle. Mais elle ne voyait qu’un jardin fleuri d’innombrables fleurs. Elle entendait au loin une harpe qui jouait un air inconnu.

 

D’un geste Adelis fit apparaître une barque bleue au milieu de ce décor.

 

Il la prit par la main et lui fit signe de s’approcher. Elle accepta l’invitation et monta dans la barque qui glissa aussitôt sur les pétales de fleurs. Ainsi commença un voyage qui lui sembla sans fin ayant perdu toute notion du temps depuis qu’elle était partie.

 

La barque prit son envol dans un ciel sans nuages. Adelis s’approcha d’elle et l’embrassa.

 

Elle ne distinguait plus le paysage autour d’elle, seulement le ciel sans nuages. Elle murmura alors :

 

-         Merci Adelis…

 

Une voix étrange se fit entendre au loin comme un écho qui lui répondait. Ce n’était pas la voix d’Adelis. Cette voix disait : « je t’ai choisie depuis longtemps déjà. Tu ne le sais pas mais ta robe t’attend dans la forêt des cerfs blancs ».

 

Elle regarda Adelis. Comme elle, il avait entendu ces mots et semblait très surpris. Quelqu’un sûrement les avaient épiés depuis leur arrivée ou peut être même avant qu’elle ne soit aspirée dans les profondeurs.

 

Adelis lui dit : « rentrons ! ».

 

Elle frissonna et chancela en montant dans la barque qu’Adelis mit en route sans plus attendre…

 

Celle-ci se dirigea vers une forêt et passa au-dessus des arbres avant de piquer droit sur un tapis de fleurs rouges. Elle s’y posa doucement et Adelis invita Aya à descendre.

 

« Je vais te présenter aux cerfs blancs ; ils t’attendent, je leur ai parlé de toi souvent ».

 

Adelis siffla et Aya vit apparaître un troupeau blanc. Elle resta un moment silencieuse ne sachant pas comment se présenter devant les cerfs blancs qui la regardaient. Elle s’inclina et Adelis leur fit signe de partir. Ils s’éloignèrent en s’enfonçant dans la forêt.

 

Puis Adelis lui demanda de le suivre.

 

Ils arrivèrent tous les deux devant trois énormes pierres dressées en cercle. Adelis prit la main d’Aya et la fit descendre sous la terre par une porte cachée au milieu des pierres dressées. Puis il la fit entrer dans une pièce tapissée de voiles blancs, éclairée par quelques bougies. Un repas froid attendait sur la table basse installée au centre. Ils s’installèrent sur le tapis et mangèrent tous les deux en se regardant, se caressant et s’embrassant. Puis Adelis se leva et lui dit :

 

« Je dois partir maintenant. Je viendrai te chercher demain matin ».

 

Il souleva un des voiles blancs et lui montra le lit où elle allait s’endormir profondément après avoir mangé copieusement…

 

Plongée dans un profond sommeil, elle rêva qu’elle se trouvait au milieu de rochers balayés par la tempête déchaînée, ses cheveux fouettant son visage. Elle se battait contre le vent pour rester debout.

 

Elle avait laissé ses amis derrière elle pour rejoindre le château d’Adelis qui l’attendait ce soir. Elle traversait la mer en sautant de rochers en rochers. Elle savait qu’au bout du chemin elle le trouverait.

 

Au milieu de son rêve, elle s’arrêta sous une grande arche de pierres. Elle s’avança prudemment dessous. Il lui fallait encore marcher sur une route sinueuse qui montait tout en haut de la colline.

 

Arrivée au sommet, elle vit une lumière bleue. Des oiseaux noirs volaient autour d’elle. Certains la frôlaient et elle avait envie de crier. Epuisée, elle reprit son souffle un instant. Elle savait qu’Adelis l’attendait et s’inquiétait. Elle regarda autour d’elle mais la lumière était devenue jaune.

 

Elle se dirigea vers le château qui devenait de plus en plus gigantesque. Arrivée à la porte, elle tapa de toutes ses forces avec ses deux bras. Une dame vêtue d’une longue robe noire lui ouvrit et se présenta. Elle lui dit : « Adelis vous attend, suivez-moi… ».

 

Aya entra dans une immense salle entourée de colonnes finement sculptées, éclairée de quelques bougies et au milieu de laquelle un bassin jetait de l’eau en cascades du haut d’une fontaine. La dame vêtue de noir referma la porte derrière elle et Aya se retrouva seule. Elle regardait l’eau se déverser dans le bassin quand elle entendit des pas se rapprocher.

 

Adelis lui apparût entre deux colonnes et l’invita à s’asseoir sur quelques coussins jetés au sol sur un grand tapis blanc. Il lui offrit un verre de vin et elle le remercia.

 

Au moment où ses lèvres s’ouvrirent, elle se sentit tout à coup engourdie. La voix d’Adelis devenait de plus en plus lointaine. Elle ne comprenait pas ses paroles et la tête lui tournait. Son corps tomba dans un grand lac noir… et elle se réveilla dans le lit entouré de voiles blancs.

 nouvelles et textes brefs,écriture,littérature,culture,société,contes

 

mardi, 16 juillet 2013

AU PAYS DE ZENIA

Je suivais la route des étoiles.

Seule ma robe blanche éclairait la nuit et je me sentais perdue.

Au bout d'une heure j'aperçu enfin sur le côté une vive lumière lointaine. Je décidais de marcher dans sa direction. Autour de moi tout était noir et vide. Je n'entendais aucun bruit, ne voyais pas le moindre être vivant.

J'avançais longtemps avant de distinguer que la vive lumière lointaine était une oasis orange, une sorte de bulle éclairée au milieu des ténèbres.

Je me posais des tas de questions en marchant vers cet étrange lieu.

Au fur et à mesure que j'avançais, je distinguais un tapis de fleurs jaunes et une cascade illuminée se déversant dans une sorte de bassin rocheux.

Aucun arbre, seulement des fleurs jaunes tapissaient le sol sableux. J'entendais quelques oiseaux chanter au loin mais je ne les voyais pas. La cascade frémissante continuait doucement à se déverser dans le bassin ce qui éloigna mon angoisse de la journée.

Je regardais autour de moi : personne.

Fatiguée, je m'allongeais sur le tapis de fleurs quand un perroquet se posa devant moi et me demanda :

- Qui es-tu ? qui es-tu ?

- Je viens de la planète terre, je me suis perdue...

Et le perroquet me cria :

- Qui es-tu ? qui es-tu ?

- Mon nom ne vous dira pas grand chose, bel oiseau...

Je vis tout à coup le bassin s'ouvrir et une grande dame blonde apparut au milieu de la cascade.

Elle me dit :

- Bienvenue au pays de Zenia ! Comment es-tu arrivée ici ?

- Je me suis perdue, je voudrais retourner chez moi mais je ne sais comment retrouver mon chemin dans la nuit...

- Ce n'est pas la 1ère fois que je vois des étrangers se perdre par ici. Si tu veux retrouver ton pays, tu dois me suivre. Je t'indiquerai le chemin plus tard. Je dois te présenter à Siwa, notre Dieu... suis-moi.

Elle me tendit la main et m'attira dans le bassin où je fus aspirée dans les profondeurs...

nouvelles et textes brefs,écriture,histoires,contes,mondes imaginaires.

 

 

 

 

  

 

 

vendredi, 26 décembre 2008

LE MYSTERIO DE NOEL (3ème épisode)

Je regarde sur la lettre s'il est indiqué un numéro de téléphone. Je le trouve dans l'entête, sous le nom du magasin.

Je me décide donc à appeler et raconter mon aventure. Une employée me répond que Mr ASCOËT est parti à la retraite depuis 3 ans, mais que Mr Serge LOSIC le remplace. Elle ajoute que ce Monsieur est absent jusqu'à demain et m'invite à le rappeler vers 9 h. Je raccroche déçue et répète plusieurs fois le nom du remplaçant... en me disant : "tiens j'ai connu un garçon qui s'appelait comme lui... J'avais 19 ans... Il faisait partie d'une bande de copains avec un certain François, et Jean Marc également... Ils partaient souvent à la plage en mobylette, on se donnait rendez-vous l'après-midi, près de l'escalier qui menait à cette plage... Il était même passé un jour de printemps, l'année d'après, me rendre visite chez mes parents... Nous avions pris des photos de cet été et de ce jour de printemps. Je rappellerai demain matin et on verra bien .... même si c'est trop tard pour le voyage gagné..."

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07:34 Publié dans Jeux | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : jeux, histoires, contes, noël, loisirs, blogs

jeudi, 25 décembre 2008

LE MYSTERIO DE NOEL - Episode 2

La lettre du Passé (2ème épisode)

"Je rentre à la maison et ouvre délicatement l'enveloppe. Je déplie la lettre et je lis :

Lors de votre passage dans notre magasin, LE CRABE BLEU, le 18 août, vous avez bien voulu participer à notre Concours : DECOUVERTE DU MONDE. Votre bulletin de participation a été tiré au sort... Vous gagnez un voyage d'une semaine en Ecosse sur le thème "DECOUVERTE DE L'ECOSSE" et un bon d'achat d'un montant de 500 francs valable jusqu'au 31 décembre 1997 dans notre magasin.

La lettre était signée : Claude ASCOËT, gérant.

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12:09 Publié dans Jeux | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : jeux, blogs, noël, histoires, contes, fêtes

jeudi, 03 janvier 2008

LE JOURNAL DE JULIETTE, LYCEENNE (14)

Le jour de Noël, après la messe de minuit, toute la famille se retrouve autour d'un chocolat au lait bien chaud et d'une brioche. Juliette et ses soeurs découvrent les cadeaux au pied du sapin, dans un coin du salon. La crèche a été installée par sa maman quelques jours avant la fête, sur la commode près du petit sapin en pot. Juliette s'était bien amusée à le garnir de guirlandes et de boules scintillantes. Il sera replanté dans le grand jardin en début d'année.

Le lendemain, en rendant visite à ses grands parents, elle reçoit un grand et beau livre. Son frère et ses soeurs ont reçu également un livre chacun.... Certes, les cadeaux sont modestes mais elle gardera toujours un merveilleux souvenir de cette période de l'année pleine de douceur.

La famille au grand complet, les amies, les copines, les voisines, tout le monde se fait de petits cadeaux tout aussi modestes mais qui réchauffent le coeur.

Bientôt, elle reprendra le chemin du lycée. Elle se promet de réussir cette année nouvelle tant sur le plan scolaire que sur le plan affectif.

mardi, 01 janvier 2008

2008

MEILLEURS VOEUX à tous les bloggeurs !!!

Que cette année vous apporte BONHEUR, SANTE, JOIE, REUSSITE et tout ce que vous désirez.

 

samedi, 29 décembre 2007

LE CHAPEAU DE LA FEE

Ce soir, dans le ciel noir, Clémence remarque une petite lumière qui se balance au vent.

"C'est peut être une étoile filante qui a perdu son chemin", suggère Petit Oiseau. "Regardez ! elle arrive vers nous" dit Petit Chat. "Tiens elle a une forme pointue, on dirait un chapeau" dit Ribambelle. "Oui c'est mon chapeau" dit une belle fée en s'approchant des enfants. "C'était une étoile que j'ai soignée lorsqu'elle est tombée sur la terre. Depuis elle ne me quitte plus".

La fée détache alors son brillant chapeau et, surprise, au-dessous il y en a un plus petit et un plus petit encore dessous.

"Tenez les enfants, mettez-les", propose la belle dame, "et venez-vous promener ; ce soir, nous serons les étoiles du ciel noir".

vendredi, 28 décembre 2007

LE CADEAU OUBLIE (histoire)

Il pleut ce matin et Clémence, sitôt habillée, court chercher ses bottes jaunes. Mais au fond de la botte gauche, son pied rencontre un objet dur : c'est un petit paquet oublié là depuis Noël. Un petit oeuf de Pâques est endormi à l'intérieur. "Que se passe-t-il" dit-il en s'éveillant, "je n'entends pas les cloches ?". Tout doucement, Clémence à installé l'oeuf dans le nid de Petit Oiseau et lorsque Pâques arrivera, l'étoile filante viendra le chercher et le couchera en riant sur les aiguilles de son sapin.....

jeudi, 27 décembre 2007

UNE PETITE HISTOIRE

LES ETOILES DEVENUES FILANTES :

Ce matin, Clémence regarde le plafond de sa chambre et se dit : "c'est bien triste tout ce blanc".

"il faudrait le peindre", dit Ribambelle , "et si nous dessinions un vrai ciel", suggère Petit Chat ?

"Bonne idée, je cours chercher la peinture" dit Petit Oiseau.

"Là je dessine la dernière étoile" dit Clémence au bout d'un moment.

Tous s'assoient par terre et battent des mains.

"Que c'est joli ! J'ai vu une étoile filante" crie tout à coup Rigodon, le Petit Ours.

"Vite, fais un voeu" dit Ribambelle, "mais, chut, ne le dis pas tout haut".

Et quelques instants plus tard, toutes les étoiles devenues filantes se mirent à danser au ciel de la petite chambre.

mercredi, 12 décembre 2007

JE VOUS RACONTE

Etant enfant, j'avais participé à un jeu télévisé et j'avais gagné un beau livre de contes pour enfants. Je vais vous raconter une des histoires...

Il y avait une fois un prince qui voulait épouser une princesse, mais une princesse véritable. Il fit donc le tour du monde pour en trouver une, et, à la vérité, les princesses ne manquaient pas ; mais il ne pouvait jamais s'assurer si c'étaient de véritables princesses ; toujours quelque chose en elles lui paraissait suspect. En conséquence, il revint bien affligé de n'avoir pas trouvé ce qu'il désirait.

Un soir, il faisait un temps horrible, les éclairs se croisaient, le tonnerre grondait, la pluie tombait à torrents ; c'était épouvantable !

Quelqu'un frappa à la porte du château et le vieux roi s'empressa d'ouvrir.

C'était une princesse. Mais grand Dieu ! comme la pluie et l'orage l'avaient arrangée ! L'eau ruisselait de ses cheveux et de ses vêtements, entrait dans ses souliers, et sortait par le talon. Néanmoins, elle se donna pour une véritable princesse.

"C'est ce que nous saurons bientôt !" pensa la vieille reine. Puis, sans rien dire, elle entra dans la chambre à coucher, ôta toute la literie, et mit un pois au fond du lit. Ensuite, elle prît vingt matelas, qu'elle étendit sur le pois, et encore vingt édredons qu'elle entassa par-dessus les matelas.

C'était la couche destinée à la princesse. Le lendemain matin, on lui demanda comment elle avait passé la nuit.

"Bien mal ! répondit-elle ; à peine si j'ai fermé les yeux de toute la nuit : Dieu sait ce qu'il y avait dans le lit ; c'était quelque chose de dur qui m'a rendu la peau toute violette. Quel supplice !".

A cette réponse, on reconnut que c'était une véritable princesse, puisqu'elle avait senti un pois à travers vingt matelas et vingt édredons. Quelle femme, sinon une princesse pouvait avoir la peau aussi délicate ?

Le prince, bien convaincu que c'était une véritable princesse, la prit pour femme, et le pois fut placé dans le musée où il doit se trouver encore.