dimanche, 29 juin 2008
QUELQUES PROVERBES SUR LES Amis
Pour se dire ami, il faut avoir mangé ensemble un minot de sel
(l'amitié ne peut se former subitement)
Un ami est un autre nous-même
(Mot de Zénon, fondateur de la secte des stoïciens, devenu proverbe)
Il faut aimer ses amis avec leurs défauts.
Il faut éprouver les amis aux petites occasions et les employer aux grandes.
Riche homme ne sait qui lui est ami.
Si ton ami est borgne, regarde-le de profil
(Jules Renard s'est souvenu de ce proverbe recueilli par Panckoucke en 1749)
On ne se gêne pas avec les amis.
Il ne faut pas compter avec ses amis.
12:50 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : loisirs, vacances, voyages, culture, écriture
mardi, 24 juin 2008
LA VIE, UN ECLAIR
La vie d'un homme entre ciel et terre passe comme le saut d'un poulain blanc franchissant un fossé : un éclair et c'est fait....
(TCHOUANG-TSE)
10:26 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : littérature, écriture, vie, vacances, culture
dimanche, 22 juin 2008
JE VOUS AI OUBLIE
J'ai délaissé les blogs un peu ces derniers jours mais le beau temps m'attend....
Et ma guitare ? Et bien elle m'attend depuis très longtemps... elle aussi.
17:29 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : loisirs, nature, vacances, week end, journal intime
LA VIE AU JARDIN
Premiers bains dans la piscine, temps très chaud, sieste au jardin, bronzage, cigales, vent doux, repos, décontraction, silence.... voilà le programme !!!
17:25 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : nature, été, jardin, loisirs, vacances, séjours, détente
mardi, 17 juin 2008
POUR CEUX QUI AIMENT LE SUD
22:59 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : culture, histoire, sud, voyages, vacances
dimanche, 20 avril 2008
RETOUR
15:28 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (20) | Tags : vacances, voyages, blog, poésie, poèmes, culture, écriture
mardi, 14 août 2007
NOTRE LOCATION DE VACANCES
Notre location de vacances se trouvait à l'étage d'un groupe de trois maisons collées les unes aux autres. Le propriétaire, artisan menuisier, avait aménagé sous les toits deux appartements. On y accédait par un grand escalier intérieur pour le notre, et par un escalier extérieur pour le deuxième. Le temps de la belle saision, ce propriétaire louait également une des maisons en rez de chaussée et logeait dans la petite maison du milieu. C'est là que nous avons dégusté un soir un far Breton confectionné par sa femme. Nous y avons vu également, sur l'écran de sa télévision, le plus grand évènement du siècle : l'homme qui marche sur la lune. Une bouteille de cidre du coin était débouchée à l'occasion.
Notre appartement était composé de deux chambres, d'un cabinet de toilette et d'une cuisine. Dans l'entrée, un vaste placard permettait de ranger sur des cintres nos robes et autres habits.
Nous aimions nous asseoir sur le large appui des fenêtres et lire des bandes dessinées, des magazines (Mademoiselle Age tendre, Salut les Copains) ou des livres, en écoutant les derniers tubes à la radio, en attendant d'aller à la plage ou le matin en attendant le repas de midi. Les petites épiceries dans le village, étaient tenues par des dames âgées, portant la coiffe blanche locale. La Poste était en même temps marchand de journaux et boulangerie. Maman y faisait ses courses le matin.
L'après midi, après la sieste, papa mettait la voiture en marche. Dans le coffre étaient posées nos bouées achetées au bazar sur la route de la plage. Direction la plage.
Le soir, après le repas, nous partions faire le tour du village avant d'aller nous coucher.
11:35 Publié dans Souvenirs | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Souvenirs, vacances, journal intime, écriture
samedi, 11 août 2007
SONGERIE
Encore un peu de temps et les profanes eux-mêmes sauront qu'un inventeur, pour faire jaillir l'étincelle et changer la face de la terre, doit rêver à l'aise, perdre du temps, bégayer du génie.
Tout le monde commence à comprendre que la songerie féconde a parfois le visage et la démarche hésitante de l'oisiveté.
(G. DUHAMEL, Le Temps de la Recherche)(Georges DUHAMEL est né en 1884)
Moi j'ai besoin également d'un peu d'oisiveté, de songerie..... pour composer mes poèmes, en un mot écrire.
22:35 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : Poésie, poèmes, culture, écriture, vacances
jeudi, 09 août 2007
BRETAGNE
Quand reverrai-je tes maisons de pierres
Et tes bouquets de fleurs d'hortensias
Tes chapelles où j'ai lu des prières
La mer et ses vagues jetées là
Sur tes plages de sable si fin
Qu'il semblait couler comme le vin
Que l'on boit au Bar des Pêcheurs ?
Reverrai-je tes bateaux à moteur
Tes mouettes et tes voiliers blancs
Comme les coiffes des vieilles dames
Bavardant assises sur un banc
Pendant que jouent sur le macadam
Des enfants, criant et courant,
Emportés par leurs élans
Sous le ciel tiède du mois d'août ?
Bretagne, comme ton pays est doux.
(11.07.07)
21:50 Publié dans Mes poèmes | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : poésie, poème, souvenirs, vacances, écriture, journal intime
mardi, 07 août 2007
LA ROUTE DES VACANCES
Quelques jours avant notre départ, Papa sort ses cartes routières. Il étudie le trajet entre notre domicile et le lieu de nos vacances. Il note sur une feuille de papier les villes et villages que nous traverserons. Maman prépare les valises. La machine à laver tourne à plein régime. Les derniers achats sont faits.
La veille du départ, nous sommes au lit très tôt. Le lendemain, Papa nous réveille à trois heures et demi. Il est prêt à partir et les valises sont vite déposées dans le coffre de la voiture. Je monte à l'avant afin de lui servir de guide. Il me donne la liste des villes à traverser qu'il a préparée. Maman et mes soeurs sont à l'arrière. Le soleil n'est pas encore levé. Nous sommes tous silencieux et encore un peu endormis. Nous nous arrêtons au bout de 3 heures dans un chemin tranquille pour nous dégourdir les jambes. Nous sortons le thermos pour boire un café chaud et manger des croissants qui nous réconfortent. Nous commençons à nous sentir mieux. Le soleil illumine déjà l'horizon. Les volets des maisons commencent à s'ouvrir. Quelques rares passants discutent dans les rues. Les ménagères secouent leurs tapis et des literies apparaissent aux fenêtres.
Les lampes de rues s'éteignent. Nous sortons nos lunettes de soleil et comptons les kilomètres déjà parcourus. Papa commence à s'énerver : un tracteur roule devant nous à faible allure. Mais il a déjà mis son clignotant pour le doubler.
Pendant tout le reste du voyage, nous aurons ainsi devant nous des vélos, des motos, des camions, des voitures à doubler. Mais Papa conduit très bien et nous arriverons à bon port au milieu de l'après midi, fatigués mais tellement heureux d'être enfin en vacances.
06:30 Publié dans Souvenirs | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : Souvenirs, écriture, journal intime, vacances