mardi, 27 mai 2025
ANTIVIRUS QUI BLOQUE MON BLOG
Depuis que j'ai créé mon blog je n'ai jamais eu de problème avec mes visiteurs.
Le 23 mai, Erika (du blog : https://lunivers-derika.over-blog.com/) m'apprend qu'elle ne peut pas accéder à mon blog, son antivirus le rejetant.
Il m'est arrivé la même chose il y a quelques années avec les blogs de GIL (voir dans ma colonne de gauche). Je l'avais signalé à la société qui gère mon antivirus Avast. Ils ont fait le nécessaire, j'ai pu accéder de nouveau à ses blogs. Mais peu de temps après, le problème a recommencé. Je les ai recontactés : ils m'ont dit qu'il n'avaient rien trouvé. Qu'ils n'avaient rien détecté d'anormal. J'ai donc laissé tombé et depuis je ne vais plus sur ses blogs. Je visite depuis ses pages sur son facebook...
Je ne sais pas résoudre ce problème. Dommage....
16:54 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : web, sites, blogs, anti virus, blocages
samedi, 24 mai 2025
QUELQUES CITATIONS avec le mot LANGUE
La langue va où la dent fait mal :
Signifie qu'on parle volontiers de ses peines.
Il vaut mieux glisser du pied que de la langue.
Ce que le sobre tient au coeur est sur la langue du buveur.
Le sage se repose sur la racine de sa langue, et le fou voltige sur le bout de la sienne.
15:20 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : citations, expressions, culture, langue, vie en société
mardi, 20 mai 2025
Souvenir d'enfance : L'OCULISTE de MAUBEUGE
Ma mère a eu 5 enfants dont 3 ont porté des lunettes dès l'école primaire.
Je fais partie des 3, j'ai porté mes 1ères lunettes à l'âge de 8 ans.
Tous les ans à la même époque, ce devait être pendant les grandes vacances, nous prenions le train pour nous rendre au rendez-vous fixé par l'oculiste. Dans notre petite ville, à part les médecins généralistes, il n'y avait pas de médecins spécialistes.
Arrivés à la gare, nous nous dirigions vers les faubourgs. Dans une rue toute droite, des maisons individuelles se succédaient. C'est dans l'une d'elles que notre oculiste exerçait. Dans la salle d'attente, les volets fermés, une faible lumière nous accueillait ainsi qu'un canapé et quelques fauteuils.
Je demandais à ma mère pourquoi nous étions dans le presque noir. Elle m'expliquait que c'était pour prendre soin de nos yeux.
Puis nous passions une par une dans le bureau de l'oculiste.
Quand nous sortions de ce rendez-vous, ordonnance à la main, nous allions commander nos nouveaux verres chez l'opticien de notre petite ville et quelquefois changer en même temps nos montures, car en grandissant nos lunettes devenaient trop petites.
J'avais du mal à m'y habituer les premiers jours et je manquais de tomber car je levais trop haut mes pieds pour monter ou descendre du trottoir.
18:12 Publié dans Souvenirs | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : souvenirs, enfance, médecin, ophtalmo, train, famille, cuture
vendredi, 16 mai 2025
POEME DE Paul-Jean TOULET (1867-1920) : TROIS CHATES DE PROVENCE
Trois châtes de Provence
Qui s'en allaient d'un pas qui danse
Le soleil dans les yeux.
Une enseigne, au bord de la route,
- Azur et jaune d'oeuf, -
Annonçait : Vin de Châteauneuf,
Tonnelles, Casse-croûte.
Et, tandis que les suit trois fois
Leur ombre violette,
Noir pastou, sous la gloriette,
Toi, tu t'en fous : tu bois...
C'était trois châtes de Provence,
Des oliviers poudreux,
Et le mistral brûlant aux yeux
Dans un azur immense.

11:13 Publié dans poésie | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : poésie, poème, poète, vers, culture, provence, paul-jean toulet
lundi, 12 mai 2025
LE JARDIN CE LUNDI
Depuis le début de l'année, j'ai passé 45 heures au jardin. En photo ma 4ème récolte de fraises depuis le début du mois.
18:26 Publié dans Jardinage | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : jardin, jardinage, fleurs, plantes, mai, printemps
vendredi, 09 mai 2025
LE PARESSEUX (poème de Marc Antoine Girard, Sieur de Saint Amant - 1594-1661)
Accablé de paresse et de mélancolie,
Je rêve dans un lit où je suis fagoté,
Comme un lièvre sans os qui dort dans un pâté,
Ou comme un Don Quichotte en sa morne folie.
Là, sans me soucier des guerres d'Italie,
Du comte Palatin, ni de sa royauté,
Je consacre un bel hymne à cette oisiveté
Où mon âme en langueur est comme ensevelie.
Je trouve ce plaisir si doux et si charmant,
Que je crois que les biens me viendront en dormant,
Puisque je vois déjà s'en enfler ma bedaine,
Et hais tant le travail, que, les yeux entrouverts,
Une main hors des draps, cher Baudoin, à peine
Ai-je pu me résoudre à t'écrire ces vers.
11:33 Publié dans poésie | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : poésie, poème, poète, culture, écriture, vers, saint amant
lundi, 05 mai 2025
CHAPITRE XXII (CINQ SEMAINES EN BALLON de Jules VERNE)
Fergusson projeta vers les divers points de l'espace son puissant rayon de lumière et l'arrêta sur un endroit où des cris d'épouvante se firent entendre. Ses deux compagnons y jetèrent un regard avide.
Le baobab au-dessus duquel se maintenait le Victoria presque immobile s'élevait au centre d'une clairière ; entre des champs de sésame et de cannes à sucre, on distinguait une cinquantaine de huttes basses et coniques autour desquelles fourmillait une tribu nombreuse.
A cent pieds au-dessous du ballon se dressait un poteau. Au pied de ce poteau gisait une créature humaine, un jeune homme de trente ans au plus, avec de longs cheveux noirs, à demi nu, maigre, ensanglanté, couvert de blessures, la tête inclinée sur la poitrine, comme le Christ en croix. Quelques cheveux plus ras sur le sommet du crâne indiquaient encore la place d'une tonsure à demi effacée.
- Un missionnaire ! un prêtre ! s'écria Joe.
- Pauvre malheureux ! répondit le chasseur.
- Nous le sauverons, Dick ! fit le docteur, nous le sauverons !
La foule des nègres, en apercevant le ballon, semblable à une comète énorme avec une queue de lumière éclatante, fut prise d'une épouvante facile à concevoir. A ses cris, le prisonnier releva la tête. Ses yeux brillèrent d'un rapide espoir, et, sans trop comprendre ce qui se passait, il tendit ses mains vers ces sauveurs inespérés.
- Il vit ! Il vit ! s'écria Fergusson ; Dieu soit loué ! Ces sauvages sont plongés dans un magnifique effroi ! Nous le sauverons ! Vous êtes prêts, mes amis ?
- Nous sommes prêts, Samuel.
- Joe, éteins le chalumeau.
L'ordre du docteur fut exécuté. Une brise à peine saisissable poussait doucement le Victoria au-dessus du prisonnier, en même temps qu'il s'abaissait insensiblement avec la contraction du gaz......
16:07 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : jules verne, livre, auteur, culture, écriture, roman
vendredi, 02 mai 2025
MAI
Il est mauvais de se marier au mois de mai.
En avril nuée, en mai rosée.
Pluie de mai fait pousser les enfants.
(en photos, roses au jardin cette semaine).
14:11 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (17) | Tags : citations, expressions, culture, mois de mai, saison
lundi, 28 avril 2025
QUELQUES FLEURS AU JARDIN CETTE SEMAINE
21:47 Publié dans Jardinage | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : jardin, fleurs, plantes, printemps, jardinnage
vendredi, 25 avril 2025
LE CHANT DU CYGNE
Les anciens prétendaient que le cygne, au moment de mourir, avait un chant particulièrement solennel et mélodieux.
(Personnellement, la première fois que j'ai vu des cygnes, c'était dans le Nord, à Le Quesnoy, pas loin de ma ville de naissance, j'avais une dizaine d'années).
(Photo personnelle d'avril 1985 à Le Quesnoy, c'est mon mari qui tend la main).
https://www.escapades-en-hautsdefrance.com/le-quesnoy-et-...
14:44 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (17) | Tags : citations, expressions, culture, cygne, chant, mélancolie, mélodie