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lundi, 14 février 2011

MEDISANCE

Je ferai taire les médisants en continuant de bien vivre : voilà le meilleur usage que nous puissions faire de la médisance.

PLATON.

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jeudi, 10 février 2011

MEDIOCRITE

Chaque fois qu'on produit un effet, on se donne un ennemi. Il faut rester médiocre pour être populaire.

(O. WILDE).

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lundi, 07 février 2011

UNE NOUVELLE ANNEE QUI SE PRESENTE BIEN ! (Le journal de Juliette n° 73)

Au bureau, la secrétaire de direction qui était en arrêt maladie revient pour annoncer qu'elle est enceinte. La naissance est prévue pour fin mars. Ses collègues se réjouissent de cette heureuse nouvelle d'autant plus que c'est son premier enfant. Une nouvelle standardiste est embauchée. Evelyne et Juliette deviennent tout de suite très copines.

En décembre, deux employés partent à la retraite et une petite fête est donnée en leur honneur pour les remercier du travail accompli depuis plus de 30 ans. Le recrutement de leurs remplaçants a déjà commencé. Evelyne et Juliette voient défiler dans le bureau du Secrétaire Général les quelques candidats. Elles font discrètement quelques commentaires en riant.

Pour la nouvelle année, Juliette écrit à Lionel. Celui-ci lui répond qu'il aimerait la revoir. Elle n'attendait pas mieux...

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vendredi, 04 février 2011

SOUS TES PAUPIERES PALES

Dans les chambres sombres et floues

Tu poses tes mots bout à bout

Tes rêves parlent de bonheur

Quand les livres sont en pleurs

Dans les chambres et sur les bancs

De la ville aux murs blancs

Tu penses que la rivière

Exaucera tes prières

Mais la source est tarie

Tout au bout de la prairie

Et le silence s'installe

Sous tes paupières pâles.

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SAISONS

Je viens de rééditer mon 1er livre écrit en 2007 :

SAISONS

 Il contient 90 poèmes.

Il était paru en auto-publication en 2007.

Pour lire des extraits et/ou commander :

http://www.thebookedition.com/saisons-elisabeth-leroy-p-5...

 

mercredi, 02 février 2011

VILLENEUVETTE

C'était une manufacture royale de draps, construite sous Colbert.histoire,région,photos,travail,société

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VILLE

Du fond des brumes

Là-bas avec tous ses étages

Et ses grands escaliers, et leurs voyages

Jusques au ciel, vers de plus hauts étages

Comme d'un rêve, elle s'exhume (...)

La ville au loin s'étale et domine la plaine

Comme un nocturne et colossal espoir.

(Emile Verhaeren, Les Campagnes hallucinées).

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lundi, 31 janvier 2011

CITATIONS EN VRAC

On admire le monde à travers ce qu'on aime (LAMARTINE).

Il est souvent préférable d'être très actif plutôt que de penser trop intensément (Louis BROMFIELD).

Le moyen d'aimer une chose est de se dire qu'on pourrait la perdre (C. K. CHESTERTON).

L'anarchie est partout quand la responsabilité n'est nulle part (G. LE BON).

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vendredi, 28 janvier 2011

CHAPITRE XXII (CINQ SEMAINES EN BALLON de Jules VERNE)

Fergusson projeta vers les divers points de l'espace son puissant rayon de lumière et l'arrêta sur un endroit où des cris d'épouvante se firent entendre. Ses deux compagnons y jetèrent un regard avide.

Le baobab au-dessus duquel se maintenait le Victoria presque immobile s'élevait au centre d'une clairière ; entre des champs de sésame et de cannes à sucre, on distinguait une cinquantaine de huttes basses et coniques autour desquelles fourmillait une tribu nombreuse.

A cent pieds au-dessous du ballon se dressait un poteau. Au pied de ce poteau gisait une créature humaine, un jeune homme de trente ans au plus, avec de longs cheveux noirs, à demi nu, maigre, ensanglanté, couvert de blessures, la tête inclinée sur la poitrine, comme le Christ en croix. Quelques cheveux plus ras sur le sommet du crâne indiquaient encore la place d'une tonsure à demi effacée.

- Un missionnaire ! un prêtre ! s'écria Joe.

- Pauvre malheureux ! répondit le chasseur.

- Nous le sauverons, Dick ! fit le docteur, nous le sauverons !

La foule des nègres, en apercevant le ballon, semblable à une comète énorme avec une queue de lumière éclatante, fut prise d'une épouvante facile à concevoir. A ses cris, le prisonnier releva la tête. Ses yeux brillèrent d'un rapide espoir, et, sans trop comprendre ce qui se passait, il tendit ses mains vers ces sauveurs inespérés.

- Il vit ! Il vit ! s'écria Fergusson ; Dieu soit loué ! Ces sauvages sont plongés dans un magnifique effroi ! Nous le sauverons ! Vous êtes prêts, mes amis ?

- Nous sommes prêts, Samuel.

- Joe, éteins le chalumeau.

L'ordre du docteur fut exécuté. Une brise à peine saisissable poussait doucement le Victoria au-dessus du prisonnier, en même temps qu'il s'abaissait insensiblement avec la contraction du gaz......

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mercredi, 26 janvier 2011

DEJA...

La nature s'éveille.....

ROSIERS BOURGEON 520 (1632 x 1224).jpgBourgeon Lilas 517 (1632 x 1224).jpgJACINTHES 515 (1632 x 1224).jpgJASMIN 512 (1632 x 1224).jpgJONQUILLES 511 (1632 x 1224).jpgPRIMEVERES 0518 (1632 x 1224).jpg

 
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