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vendredi, 22 février 2008

BEAU TEMPS

Comme le beau temps est là depuis 2 jours dans le Sud, je vous envoie ces quelques images du pays.

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mercredi, 20 février 2008

JE N'AI PAS OUBLIE

Je n'ai pas oublié

Le parfum du printemps

Ni celui de ta peau

Je n'ai pas oublié

Les herbes se balançant

Sous le soleil si chaud

Je n'ai pas oublié

Le souffle de tes mots

Sur ma peau caressant

Mes pensées à cet instant

Ni nos corps chauds

Je n'ai pas oublié

C'était déjà l'été

Je te voulais tout entier

Je n'ai pas oublié

Tes yeux couleurs de nuit

Tu es arrivé sans bruit

C'était déjà l'été.

(17.02.08)

 

mardi, 19 février 2008

UN ROBOT CRITIQUE VOTRE BLOG

Allez voir sur le site http://blog.lisabuzz.com la critique faite sur votre blog. (remplissez les cases demandées à gauche).

Grâce à Yoyostéréo qui me l'a fait connaître, j'ai pu faire le test. Voici le résultat.

"En parcourant elisabethleroy mes passions, on ressent comme un émerveillement, une plénitude qui ne pourrait être comparée qu'à celle de Champollion lorsqu'il déchiffra les hiéroglyphes égyptiens pour la première fois : tout à coup un nouvel univers se découvre, un univers signé elisabethleroy, tout en méandres exaltants et en posts uniques et précieux. A coup sûr elisabethleroy mes passions figurera dans 1 000 ans au musée du web."

LA VIE AU LYCEE et EN VACANCES (LE JOURNAL DE JULIETTE (20)

Ce soir, Martine sort de la classe furieuse. Elle discutait avec des camarades. Juliette la regarde se mettre en colère et s'en aller sans même l'attendre.

Le lendemain, en étude, le surveillant plaisante avec les élèves. A la récréation, Aurélie avoue à Juliette qu'elle est amoureuse de lui. Elles décident toutes les deux de l'appeler Chocorêve car il porte toujours un costume marron, comme le chocolat. Et elles se mettent à rire. Puis Aurélie raconte à Juliette les rêves qu'elle fait.

Le soir, en rentrant chez elle, Juliette prépare son programme de révisions pour les vacances qui arrivent à la fin de la semaine. Puis elle écrit sur son petit carnet : "mes sentiments ont progressé depuis le mois de septembre. J'ai beaucoup changé depuis 2 ans. Je découvre que le monde est beau et qu'il ne faut pas rester fermée comme une fleur en bouton. Il faut s'épanouir. Le raté est celui qui se bouche les oreilles et qui vit seul".

Il est bientôt 18 heures et elle n'a pas encore commencé ses devoirs. Elle traîne en écoutant la radio. Elle rêve beaucoup trop...

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dimanche, 17 février 2008

LES VEUVES (BAUDELAIRE)

Avez-vous quelquefois aperçu des veuves sur ces bancs solitaires, des veuves pauvres ?

Quelles soient en deuil ou non, il est facile de les reconnaître. D'ailleurs, il y a toujours dans le deuil du pauvre quelque chose qui manque, une absence d'harmonie qui le rend plus navrant. Il est contraint de lésiner sur sa douleur.

Le riche porte la sienne au grand complet.

Quelle est la veuve la plus triste et la plus attristante, celle qui traîne à sa main un bambin avec qui elle ne peut pas partager sa rêverie, ou celle qui est tout à faire seule ? Je ne sais ... Il m'est arrivé une fois de suivre pendant de longues heures une vieille affligée de cette espèce ; celle-là roide, droite, sous un petit châle usé, portait dans tout son être une fierté de stoïcienne. 

Elle était évidemment condamnée, par une absolue solitude, à des habitudes de vieux célibataire, et le caractère masculin de ses moeurs ajoutait un piquant mystérieux à leur austérité.

vendredi, 15 février 2008

DEUX GUITARES

Deux guitares qui se répondent au CLAIR DE LUNE de Claude DEBUSSY (1905).

(Ida PRESTI et Alexandre LAGOYA).

Je vous ai déjà parlé d'Alexandre LAGOYA que j'ai vu en concert en 1990 dans une église au Cap d'Agde. (voir mes notes dans la catégorie GUITARE). Je lui rend hommage ici.

 

www.youtube.com/watch?v=i3BXJs2VcYo

 

13:54 Publié dans guitare | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : guitare, musique, culture

jeudi, 14 février 2008

EXPERIENCE

Si l'on projette l'image d'un bébé de 9 mois en pleurs et que l'on interroge un groupe d'adultes des 2 sexes : 'pourquoi ce petit garçon pleure-t-il ?". La réponse est : "parce qu'il est en colère".

On reprend la même photographie, on la présente à un groupe identique et l'on demande : "Pourquoi cette petite fille pleure-t-elle ? La réponse sera : "parce qu'elle a du chagrin".

L'interprétation a donc varié avec le sexe prêté au bébé.

Le force des stéréotypes culturels renforce les différences biologiques dues au sexe. ( vu dans Mieux vivre Mode d'emploi de psychologies magazine)

mercredi, 13 février 2008

REVERENCE

acc0de3a61f933380392d6e84a17c9be.jpgHENRI SALVADOR tire sa révérence avant d'avoir terminé sa TOURNEE de REVERENCE.

mardi, 12 février 2008

CLIP

DANCE ME TO THE END OF LOVE

www.youtube.com/watch?v=7pA5UhNaYw0

FAIS MOI DANSER jusqu'à voir ta beauté sur un air de violon se consumant

Fais moi danser malgré la panique jusqu'à ce que je sois en paix

Soulève-moi comme un rameau d'olivier et soit la colombe me montrant mon chemin.

Fais moi danser jusqu'à la fin de l'amour. (bis)

Oh dévoile-moi ta beauté quand il n'y a plus de témoins

Laisse-moi te sentir bouger comme ils le faisaient à Babylone

Montre-moi doucement quelles sont ces limites que je ne faisais qu'entrevoir

Fais moi danser pour le mariage d'aujourd'hui fais moi danser encore et encore

Fais moi danser tendrement et fais moi danser pour longtemps

Nous sommes tout deux indignes de notre amour

Nous sommes tout deux au-delà

Fais moi danser pour les enfants qui ne demandent qu'à naître

Fais moi danser à travers ces remparts que nos baisers ont transpercés

Dresse une tente pour nous abriter maintenant même si chaque maille part en lambeaux

Fais moi danser....

lundi, 11 février 2008

UN COEUR QUI BAT

J'attends le printemps

Impatiente en guettant

Le moindre clair instant

De chaleur ambiant

La verdure est présente,

Les fleurs sont absentes

La sève monte en moi

J'ai trop le coeur qui bat

Devant moi si sérieux

Tu murmures des mots

A mon oreille aussitôt

Je rêve à nous deux

Je te veux dans mes bras

La sève monte en moi

Déjà tu n'es plus là

J'ai jeté mes bras

Dans le lit vide de toi

Tu ne reviendras pas

Ailleurs que dans mes rêves

Déjà le jour se lève.

 

 
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