mardi, 26 juillet 2011
NOUS LES FEMMES...
Nous, les femmes, nous aimons faire du shopping, nous habiller suivant les saisons et la mode.
Cependant, au fil des années, nous pouvons regretter de n'avoir pas gardé telle robe ou jupe, tel pull, tel chemisier ou bien tel pantalon ou manteau...
Soit parce que la mode change, ou bien que le vêtement est abimé, ou bien trop petit...
Je me souviens de mon petit manteau matelassé, genre anorak, de couleur rouge tirant un peu sur le rose, que maman m'avait acheté quand j'avais 11 ans. Je me vois encore debout, dans l'église sombre et glaciale d'un dimanche d'hiver, avec ce manteau sur les épaules. Il rendait ainsi la saison un peu moins triste.
A l'âge de 16 ans, j'ai porté également un manteau rouge, genre militaire, un peu napoléonien, à double boutonnage.
A 15 ans, pour une communion dans la famille, j'avais choisi un manteau d'été, bleu pâle, à double boutonnage également et doublé. J'ai retrouvé, il y a peu de temps, la photo de ce jour là.
A l'âge de 19 ans, en plein été, je portais une tunique couleur jaune vanille, à plis couchés, un peu japonisante, avec des fleurs bleues et roses. Je ne sais pas si je l'ai jetée ou donnée.
Plus tard, j'ai gardé pendant longtemps une jupe d'hiver beige chiné, à taille froncée, genre jean mais en tissu assez épais. Deux poches étaient cousues derrière, de chaque côté de la couture centrale. Je ne voulais pas m'en séparer. Comme je ne la mettais plus, au bout de 15 ans, je m'en suis séparée.
Et ce pull rose que j'avais tricoté en laine élastiquée.... et ce chemisier à manches courtes en dentelle...

18:41 Publié dans Souvenirs | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : société, shopping, mode, souvenirs, écriture
samedi, 23 juillet 2011
QUE S'EST-IL PASSE ?
Que s'est-il passé le 15 juillet ? J'ai eu 933 visites en une seule journée sur mon blog !
18:24 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : blog, société, hautetfort, internet, citations
LE BONHEUR, LE BONHEUR...
Le bonheur, comme la richesse, a ses parasites (Rémy de GOURMONT).
Le plus grand bonheur après que d'aimer, c'est de confesser son amour (André GIDE).
Le bonheur ne consiste pas à acquérir et à jouir, mais à ne rien désirer, car il consiste à être libre (EPICTETE).
L'homme se crée un bonheur à sa mesure, et ma foi ! le plus souvent, l'argent est sa petite mesure. (Maurice SACHS).
En photo : mon Laurier rose.

18:21 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : citations, écriture, société, livres
mardi, 19 juillet 2011
ANECDOTE
L'anecdote, c'est la boutique à un sou de l'histoire.
(E. et J. de GONCOURT)
Dans le monde, l'anecdote est à double fin. Aux gens de valeur, elle permet de dissimuler leurs pensées ;
aux autres leur nullité.
(Fernand VANDEREM)
(En photo, Citronelle de mon jardin)

19:02 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : citations, société, livres, littérature, écriture
mardi, 12 juillet 2011
SUR LES GALETS
Sur les galets tes pieds nus
Regardent le ciel au-dessus.
Trouveras-tu des oursins,
Des palourdes, des buccins ?
Pas de château de sable
Ni même de contrescarpe
Et dans la mer semblable
A une grande écharpe
S'agitent des petits enfants
Riant et s'éclaboussant.

18:51 Publié dans Mes poèmes | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : écriture, poésie, poèmes, poètes, vacances, société
dimanche, 10 juillet 2011
Citation de Tristan BERNARD
Il y a des imprudents qui, pour ne pas avoir peur de leur imprudence, préfèrent en tirer un certain orgueil.

16:47 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : société, psychologie, citations, écriturre
mercredi, 22 juin 2011
DOUCES HABITUDES
Aux instants sans saveurs
Des journées de labeurs
S'opposent les couleurs
Des journées de faveurs
Les devoirs délaissés
Attendent patiemment
Qu'on vienne fermement
Ranger la solitude
Et les douces habitudes.

19:15 Publié dans Mes poèmes | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : poésie, poèmes, écriture, travail, société
dimanche, 19 juin 2011
LES NOIX
Les noix ont fort bon goût mais il faut les ouvrir.
Souvenez-vous que dans la vie, sans un peu de travail, on n'a point de plaisir (Florian, Fables).

12:32 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : citations, fables, société, psychologie, livres
samedi, 18 juin 2011
ANNA (QUATRE FILLES - 4 )
Pendant que Noémie se débattait dans sa relation avec Eric, Anna se pressait aux cours de Monsieur DAUGET, l'un de ses professeurs. Depuis la rentrée universitaire où elle avait eu soudain un immense flash en le voyant apparaître, elle ne manquait aucune des séances du jeudi après midi.
Elle s'y rendait avec une régularité extrême. Et pour cause ... Tous les soirs quand elle se couchait, elle revivait avec émotion l'explosion qui s'était produite encore une fois ce jeudi, comme chaque jeudi.
Il devait y avoir une explication, quelqu'un pouvait peut être donner un nom à ce bonheur intense.
Elle voulut en savoir plus et questionna Nathalie. Mais cette dernière ne lui posa que des questions. Nathalie n'avait pas de réponse directe à offrir à Anna. Elle l'invitait simplement à fouiller dans sa mémoire, dans sa propre vie.
Anna en fut très déçue...
Son moral atteignait des sommets durant un moment, puis retombait 10 mètres sous terre dans l'instant qui suivait.
Elle regarda les feuilles tombées au sol qui tourbillonnaient dans la cour de la fac. Elle frisonna et releva le col de son manteau. Elle arriva à la bibliothèque où le silence régnait. Elle sourit à Judith et à Noémie. Leurs yeux plongèrent à nouveau dans les livres étalés devant elles.
Anna vint s'asseoir à leur table et ouvrit son classeur...

16:01 Publié dans QUATRE FILLES | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : livre, écriture, amour, société, littérature
lundi, 13 juin 2011
Louis VALTAT, peintre fauve (1869-1952)
Né à Dieppe le 8 août 1869 et décédé le 2 janvier 1952, Louis VALTAT postule en 1886 son admission à l'Ecole des Beaux Arts en complétant ensuite sa formation à l'Académie Julian.
Lauréat de 1890 du Prix Jauvin d'Attainville, il installe son atelier Rue de la Glacière à PARIS.
Ses peintures exposées au Salon des Indépendants de 1893 ont pour motifs l'animation des rues environnantes. Sa peinture, Sur le Boulevard, sera remarquée par Félix Fénéon.
Atteint de phtisie, il part alors en soins à BANYULS et fait quelques escapades en Espagne.
Il réalise de nombreuses peintures aux tons très violents. Elles annoncent le Fauvisme qui fera sacandale 10 ans plus tard au Salon d'automne de 1905.
En mars 1899, à la Galerie Durand Ruel, il y figure avec 20 peintures dont 15 sont regroupées sous le titre "Notations d'Agay, 1899".
Il se marie en mars 1900 avec Suzanne dont Auguste Renoir peint le portrait en 1903.
En 1924, Louis VALTAT achète une propriété à Choisel dans la vallée de Chevreuse.
Son jardin, comme les fleurs et les fruits qu'il y cultive sont alors les motifs de ses peintures. Il est nommé Chevalier de la Légion d'Honneur en 1927.
Après l'exode de 1940 et les années d'occupations, il ne quitte plus son atelier et y réalise ses dernières peintures en 1948.
(En photos, LA FERME, PROMENADE SUR LA JETEE, BOUQUET D'ANEMONES).
Louis VALTAT sera en exposition au Musée de LODEVE (34) du 2 juin au 16 octobre.



11:07 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (25) | Tags : culture, société, peintres, fauvisme, peintures









