lundi, 13 août 2007
PAYSAGE (E. VERHAEREN ( Les flammes hautes)
J'ai pour voisin et compagnon
Un vaste et puissant paysage
Qui change et luit comme un visage
Devant le seuil de ma maison.
14:13 Publié dans poésie | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : Poésie, poèmes, écriture, culture.
samedi, 11 août 2007
SONGERIE
Encore un peu de temps et les profanes eux-mêmes sauront qu'un inventeur, pour faire jaillir l'étincelle et changer la face de la terre, doit rêver à l'aise, perdre du temps, bégayer du génie.
Tout le monde commence à comprendre que la songerie féconde a parfois le visage et la démarche hésitante de l'oisiveté.
(G. DUHAMEL, Le Temps de la Recherche)(Georges DUHAMEL est né en 1884)
Moi j'ai besoin également d'un peu d'oisiveté, de songerie..... pour composer mes poèmes, en un mot écrire.
22:35 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : Poésie, poèmes, culture, écriture, vacances
dimanche, 05 août 2007
LA MUSIQUE
Il y a de la musique dans le soupir d'un roseau ;
Il y a de la musique dans le bouillonnement du ruisseau ;
Il y a de la musique en toutes choses si les hommes pouvaient l'entendre
Leur terre n'est qu'un écho des astres.
(Lord George Gordon BYRON dans DON JUAN XV - 1788-1824)
La musique possède des charmes pour charmer un sauvage,
Pour attendrir les roches ou tendre un chêne noueux.
(Williams CONGREVE, la Mariée du matin, I - 1670-1729).
22:55 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : Culture, musique, poésie, poèmes, écriture
lundi, 30 juillet 2007
FEUILLE, FEUILLES ....
DEUX POEMES SUR LES FEUILLES.
DEUX POEMES DIFFERENTS, DEUX MANIERES D'EN PARLER....
-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-
-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-
Mon poème écrit hier soir :
FEUILLES
Des feuilles tristes et usées
D'avoir tant bataillé
Contre un soleil desséchant
Certains jours de grand vent
Tombent sur le sol épuisées
Elles sont toutes recroquevillées.
-0-0-0-0-0-0-0-0-0-0-0-
-0-0-0-0-0-0-0-0-0-0-0-
Un poème d'AMBROISE
LA FEUILLE
Un coup de crayon noircit la feuille
Elle tombe de l'arbre
Et virevolte dans la noirceur
De l'immensité planétaire
Au grès du plaisir du vent
Pour finir sa course
Sur l'eau stagnante et vaseuse
D'un lac en terre éloigné.
Texte tiré de son livre DERIVES URBAINES (100 pages - Edition 2007 - Prix : 10 euros) que vous pouvez vous procurer sur son site : http://ambroise.hautetfort.com
14:17 Publié dans poésie | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : Poésie, poèmes, écriture, journal intime, livres, blogs, littérature
mardi, 24 juillet 2007
90 POEMES
11:40 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : poésie, poèmes, écriture, livres, loisirs
jeudi, 19 juillet 2007
DANS MON ILE
Une chanson douce écrite il y a près de 50 ans ; je voulais rendre hommage à Henri Salvador qui a eu 90 ans il y a quelques jours.
http://dailymotion.com/video/xyydy_henri-salvador-dans-mo...
23:10 Publié dans guitare | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : Musique, poésie, poèmes, culture, écriture, guitare
PLUS ENCORE
Je l'aime mais plus encore
Il me bouleverse, il me renverse
Je l'aime dans mon corps
Des pieds à la tête
Il me transperce, il me bouleverse
Des pieds à la tête
Il me renverse, il me transperce.
(03.07.07)
08:00 Publié dans Mes poèmes | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : poésie, poèmes, écriture, amour, journal intime
mardi, 17 juillet 2007
CIEL !
Ciel ! que le moment fuit ! que les plaisirs sont courts !
Déjà la lune errante, aux deux tiers de son cours,
Sous des nuages noirs se perdait éclipsée ;
L'airain sonnait minuit, il fallut nous quitter.
(Antoine BERTIN, Elégie XI 1752-1790)
23:20 Publié dans poésie | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : Poésie, poèmes, écriture, culture
mercredi, 04 juillet 2007
SAINTE BEUVE : la rime
Rime, qui donne leur son aux chansons,
Rime, l'unique harmonie
Du vers qui, sans les accents frémissants,
Serait muet au génie.
14:59 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Culture, poésie, poèmes, écriture
samedi, 23 juin 2007
NE JAMAIS AVOUER
Tes rêves explosent la nuit
Tu ne pourras jamais avouer
Les plus secrets et partager
Avec lui le soleil ou la pluie
Qui viennent toujours t'apporter
Un réconfort ou te faire pleurer.
Il existe, c'est déjà beaucoup
Pour toi qui ne peut rien
Attendre de lui, qui ne sait rien
Tu veux simplement te pendre à son cou.
Tu verras le temps passer et passer
Sans que rien ne bouge entre vous.
Son visage et ses gestes deviendront flous.
Tu ne seras pas plus avancée.
Il ne te restera que le désir
De l'oublier sans avoir su lui dire.
17:14 Publié dans Mes poèmes | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : poésie, poèmes, écriture, journal intime