Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 30 octobre 2007

NOUVELLE VIE

J'ai laissé une partie de moi

Des rires, des peines, des joies,

Dans ce coin de mon beau pays

Où je suis née et j'ai grandi

Je suis partie sans un mot

Seule, un sac sur le dos

Mon avenir était ailleurs

En moi des petites lueurs

Et déjà assez de bagages

Pour avancer dans la vie sans ravages

J'ai découvert de nouveaux visages

J'ai profité de tous les avantages

De ma nouvelle vie dans la ville.

Cette ville, c'était ta ville.

(14/10/2007)

Commentaires

J'aime la limpidité de tes mots.

Écrit par : Bona | mardi, 30 octobre 2007

Coucou,
Merci de voter pour ma petite Floriane pour quelle gagne le concours. Rendez vous sur mon blog www.loicmanac.fr C’est très important.

Écrit par : Loïc | mercredi, 31 octobre 2007

A ce que je sais de toi, ce n'est pas complètement autobiographique...
Mais c'est très bien exprimé cet exil dont j'ai beaucoup parlé et que vis complètement maintenant.

Écrit par : Laura | mercredi, 31 octobre 2007

Bonjour Elisabeth,
Il faut souvent bcp de force et de courage pour décider de partir, je pense que tu as du recevoir énormément...
L'enfant n'est pas un vase qu'on remplit mais un feu qu'on allume.
Ce choix t'a porté vers ton bonheur et c'est tant mieux !!!
Il n'est pas difficile de faire un pas en avant, ce qui l'est, c'est de le décider...
Bien à toi, à bientôt !!!
:o)

Écrit par : Coriolis | mercredi, 31 octobre 2007

salut,

joli poeme :)

Écrit par : sophia | mercredi, 31 octobre 2007

A une époque on parlait beaucoup du départ à la campagne pour la ville. Aujourd'hui, n'est-ce pas souvent l'inverse qui se produit ?
Bravo pour le poème.

Écrit par : stéphane | mercredi, 31 octobre 2007

J'ai un jour connu ça aussi.partir en pleurant, laisser derriere moi des souvenirs, des personnes aimées!!!

Écrit par : monette | mercredi, 31 octobre 2007

J'aime beaucoup
A+

Écrit par : annie | jeudi, 01 novembre 2007

Merci de ton passage chez moi.
Ton poème est clair, limpide; mais je crois qu'il faut une certaine dose de courage pour se déraciner ainsi.
Amitiés et bonne journée.
Mado.

Écrit par : Mado | jeudi, 01 novembre 2007

Ou plutôt cette partie de toi est toujours en toi... Parfois, en repartant comme à zéro on ouvre son esprit à l'imprévu, à l'insespéré.

Bonne journée. Ici, il pleut : (

Écrit par : Dana | jeudi, 01 novembre 2007

iMAGINEZ un peu ce que Laura (et moi) nous avons ressenti en quittant notre pays, notre continent, notre culture, notre famille...

Écrit par : didier | jeudi, 01 novembre 2007

Très occupé par les recherches pour mon prochain livre, il y a longtemps que je n'ai pas épanché ma soif de te lire, mais ce jour est férie et je viens réparer cela au plus vite
Je t'embrasse
Pierre

Écrit par : Pierre | jeudi, 01 novembre 2007

De quelle ville pares-tu ?

Écrit par : Tietie007 | jeudi, 01 novembre 2007

Bonsoir Elisabeth

ne dit on pas que les voyages forme la jeunesse ????

@+

Écrit par : Jean Jacques | jeudi, 01 novembre 2007

Les déménagements et les exils sont-ils des voyages?

Écrit par : Laura | vendredi, 02 novembre 2007

moi aussi, j'ai dû quitter un jour mon pays... avec une valise...et rien d'autre, en abandonnant mes amis, ma maison, tous mes souvenirs..
Ton récit dit toute cette souffrance.... et ensuite vient une nouvelle vie...

Écrit par : loula2 | vendredi, 02 novembre 2007

Bonjour elisabeth ,ton poème exprime toute la peine qu'on peut eprouver à s'exiler par amour ,mais aussi,l'avantage de rencontrer des personnes nouvelles ,la chance de commencer une autre vie et de decouvrir d'autres cultures et ca plusieurs personnes; des hommes de lettres des artistes peintres ont su apprecier un jour leur exil et ont profite des avantages comme tu dis dans ton beau poème
bizz

Écrit par : estelle | vendredi, 02 novembre 2007

Que ne ferait-on par amour...

Écrit par : enriqueta | vendredi, 02 novembre 2007

Je vous remercie tous et toutes mais j'avais 19 ans quand je suis partie de ma ville natale. Je ne connaissais pas encore celui qui allait devenir mon mari. Je partais quand même joyeuse en me disant que je reviendrai chaque week end chez mes parents.

Écrit par : elisabeth | vendredi, 02 novembre 2007

Conclusion en lisant vos commentaires: il faut savoir partir, on trouve toujours quelque chose d'intéressant «ailleurs»... moi je suis partie (de mon plein gré) à 17 ans pour mes études, et j'ai pleuré pendant les trois premiers mois, tellement ma famille me manquait... je ne le regrette pas toutefois!

Evidemment pour les départs «subis», émigrations et diasporas de toutes sortes, ils sont souvent nécessaires mais ce qu'on trouve au bout n'est pas toujours rose.. Il faut voir 20 ou 30 ans après!

Euh j'oubliais... bien joli poème une fois de plus!

Écrit par : sister for ever | lundi, 05 novembre 2007

Les commentaires sont fermés.