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vendredi, 05 juin 2009

LA MORT DU POETE

La mort du poète symbolise celle de l'homme car il n'y a pas d'humanité concevable sans poésie.

Enténébré, autant qu'anesthésié, dans les villes que qualifiait déjà Verhaeren de tentaculaires, captif d'un treillis arachnéen de barbelés, avili par le despotisme de nabots ignares et les écrans de la propagande, victime et coauteur à la fois du suicide collectif, l'être humain tétanisé par le haut voltage des artificiers désapprend la vie, et se livre à la solution finale.

L'esclavage n'est aboli que parce qu'il est devenu universel.

(Jean Claude PIROTTE)

liseuse.jpg

Commentaires

Trop complexe pour moi, ce texte.

Sauf le début et la fin.


Bon week-end !!!!

Écrit par : Gilles | vendredi, 05 juin 2009

Je suis malheureusement bvien d'accord. L'époque sarkosienne en est l'illustration la plus probante. Nous sommes tous des esclaves. Nos blogs sont des bulles de résistance, pour combien de temps encore? Rendez-vous en prison.

Écrit par : enriqueta | samedi, 06 juin 2009

Gilles : je te comprends, beaucoup de mots que l'on n'emploie pas tous les jours mais je pense qu'avec un dico tu comprendras mieux.

Écrit par : elisabeth | samedi, 06 juin 2009

Pirotte:Un grand poète contemporain

Écrit par : laura | samedi, 06 juin 2009

Merci Elisabeth mais je comprends bien ce texte.

Je n'accroche tout simplement pas car je le trouve tarabiscoté ou du moins un peu trop recherché, à mon goût.

Bonne soirée

Écrit par : Gilles | samedi, 06 juin 2009

A Enriqueta,

Vos propos sont un peu trop exagérés, selon moi.

Écrit par : Gilles | samedi, 06 juin 2009

Bon dimanche Elisabeth, merci de ton passage pendant mon absence...

Écrit par : le Pierrot | dimanche, 07 juin 2009

Gilles : je comprends... oui c'est cela recherché !!!
Le Pierrot : et pourtant tu n'es pas très loin...

Écrit par : elisabeth | dimanche, 07 juin 2009

Bonjour Elisabeth,

Je donne raison a ce texte dans le sens ou tout autour de moi des persennes sont mécontentes et en même temps passives....

Grosses bises

@+

Écrit par : Jean Jacques | dimanche, 07 juin 2009

Elisabeth en lisant ton texte je pense aux derniers événements....quand j'ai vu l'émission de Y.A.Bertrand à la télé sur la terre que nous sommes entrain de tuer, j'étais démoralisée.. notre planète n'a plus d'avenir..

et cet après midi, j'ai vu une petite chorale, j'ai vu de jeunes musiciens, l'amour du chant, l'amour de la musique, et cette poésie m'a redonné de l'espoir...

ce qui ne veut pas dire qu'avec de la poésie la terre va s'en sortir !!mais nous en avons besoin.
bises et à bientôt

Écrit par : loula | dimanche, 07 juin 2009

A Loula,

Yann Arthus-Bertrand a dit : "il est trop tard pour être pessimiste".

Moi je dis : "il est toujours possible d'être optimiste."

Écrit par : Gilles | dimanche, 07 juin 2009

Elisabeth,

Ton blog s'appelle boulevard des résistants, je trouve que cela va bien avec cette note.

Bon Lundi

Écrit par : Gilles | dimanche, 07 juin 2009

Bonjour Elisabeth,

De tout temps, l'homme a toujours été un loup pour l'homme.

Amitiés

Écrit par : Christian | mardi, 09 juin 2009

Je passe te faire un p'tit coucou!!!
Je l'avoue mais sans honte....
Je ne suis pas assez érudite pour comprendre ce texte.....


Bizzzz

Écrit par : monette77100 | jeudi, 11 juin 2009

Un bonjour en passant.

Comment ça va, Elisabeth, avec ce temps froid ?

Bises

Écrit par : Gilles | jeudi, 11 juin 2009

Quand il est mort, le poète,
Quand il est mort, le poète,
Tous ses amis,
Tous ses amis pleuraient.

(Je l'ai entendue hier soir, sur scène, par un copain qui reprenait les chansons de Bécaud)

Écrit par : Manuel Ruiz | vendredi, 12 juin 2009

Un monde sans poésie est en effet un monde où l'individu pourrait se livrer aux pires et basses besognes. Très belle citation, Élisabeth, d'un auteur que je ne connais pas. Je t'embrasse et je te souhaite un excellent we.

Écrit par : Chris-Tian Vidal | samedi, 13 juin 2009

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