Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 21 novembre 2013

EXISTENCE

Dès que dans l'existence, ça va un tout petit peu mieux, on ne pense plus qu'aux saloperies.

(Mort à Crédit, Louis-Ferdinand CELINE)

L F CELINE.jpg










 

Notre coup de maître, c'est de sacrifier notre existence propre, afin de mieux exister.

(Maximes et réflexions, GOETHE)

17:53 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (12)

Commentaires

Goethe(une sous-partie à son nom sur mon blog) et Céline(qu'on dit prince du style mais aussi infréquentable) dans la même note , tu fais fort!
Selon le sens du mot saloperies, j'y pense en effet, loll... même si ça pourrait aller mieux

Goethe, là c'est de la haute philosophie!

Écrit par : laura | vendredi, 22 novembre 2013

Notre coup de maître, c est de sacrifier notre propre existence, afin de mieux exister: Devenir illustre en se suicidant, attirer l attention d autrui par un acte insensé?
Sacrifier son existence: employer toute son énergie afin d atteindre un but? peu importe les conséquences?
Voilà ce que j ai saisis dans cette phrase, peut être suis je à coté de la plaque?
Bonne soirée Elisabeth
Latil

Écrit par : Latil | vendredi, 22 novembre 2013

Latil : on peut penser en effet que c'est l'explication, Bon week end à toi et bon courage pour tes écrits.
Laura : on a tous plus ou moins des saloperies qui nous attendent dans la vie ; ça va ça vient.

Écrit par : elisabeth | vendredi, 22 novembre 2013

je ne pensais pas du tout à ça et lui non plus, je pense vu sa réputation

Il faut lire Goethe, c'est trop beau

Bon séjour à Venise et encore merci

Écrit par : laura | samedi, 23 novembre 2013

Je pense à plein de choses en lisant ça, mais je n'arrive pas à écrire quelque chose... alors bon dimanche

Écrit par : Marie Bland | samedi, 23 novembre 2013

Pas très optimiste Céline quand Goethe c'est difficile d'en parler sur une phrase ...Amitiés.

Écrit par : ariaga | samedi, 23 novembre 2013

donc, Goethe prétend, que lorsque l'on se sent mieux, on ne se maitrise plus, on laisse libre cours à nos pensées ou à nos paroles les plus méprisantes !!!
et je ne comprends pas l'autre phrase : pour mieux exister, il faut supprimer notre existence iiii
bonne fin de soirée Elisabeth..... il pluviote mais pas de neige sur Toulouse

Écrit par : loula | samedi, 23 novembre 2013

Céline optimiste,ce serait un oxymore...

Écrit par : laura | dimanche, 24 novembre 2013

Bonjour Elisabeth
Et pourquoi penser aux saloperies je ne vois pas !
Je te souhaite un bon dimanche bisous

Écrit par : Noisette | dimanche, 24 novembre 2013

Laura : je ne connais pas encore assez Céline pour me prononcer.
Pour Goethe, je n'ai fait que survoler son oeuvre au Lycée. Je vais y penser à le lire.
Marie Bland : pareil pour moi, je ne sais pas toujours commenter, mais on peut y réfléchir un peu.
Ariaga : alors je vais me mettre à lire Goethe... Amitiés !
Loula : Qu'a-t-il voulu dire par là ? je réfléchi encore...
Noisette : quelles sont les saloperies dont parle Céline ?
Bisous, je ne sais pas.

Écrit par : elisabeth | lundi, 25 novembre 2013

L'homme était détestable, quoi qu'humaniste à sa façon, il soignait gratuitement les indigents. Son engagement antisémite était nauséeux, cependant probablement avec Proust le plus grand écrivain du XXe siècle. Je n'aime pas Proust, mais Céline, reste pour moi, avec Maupassant mes modèles en écriture. Céline est la preuve qu'il faut toujours séparer l'artiste de son œuvre. Il y a bien-sûr le voyage au bout de la nuit, mais il faut lire "D'un château l'autre" où il décrit la fin des collaborateurs, qu'il méprise, à Sinmaringen, "Une communauté réduite aux caquets"...

Écrit par : Jeanmi | mardi, 26 novembre 2013

Jeanmi : j'ai les deux livres chez moi, j'ai commencé à les lire mais pour l'instant je les laisse de côté. J'en ai 46 autres à lire. Merci de ton passage.

Écrit par : elisabeth | mardi, 26 novembre 2013

Les commentaires sont fermés.