dimanche, 20 décembre 2009
DEPARTS, RUPTURES, SILENCES (Le Journal de Juliette, n° 60)
Le 11 décembre, Juliette reçoit une lettre d'Albert, elle est époustoufflée. Il ne digère pas la rupture. Il lui téléphone le samedi matin, croyant la reconquérir et sûr de lui car, certainement, il a mis sa menace à exécution : écrire au petit marin, Serge.
Le 19, elle n'ira pas au rendez-vous habituel avec Albert, elle lui mentira, trouvera une excuse.
Au Café le soir, Jasmine et Pierre discutent. Pierre n'aime pas trop Albert mais apprécie beaucoup Juliette. Jasmine confiera à Juliette ce que Pierre lui a dit le soir même et la concernant : "c'est malheureux, une si belle fille avec un tel gars...".
Mais Pierre a terminé sa formation. Il fête son départ juste avant les vacances de Noël avec Christian, Pascal, Henri, Sigrid, Jasmine et Juliette et compte offrir à tous ses amis un cadeau.
Pour oublier la peine que causent le départ de son ami, la rupture avec Albert et le silence soudain de Serge, Juliette joue de l'harmonica dans sa petite chambre, un harmonica acheté quelques semaines plus tôt chez Paul Beuscher à Paris. Les vacances sont arrivées, elle fête NOEL en famille et peut enfin rompre le cafard qui l'a prise en quelques jours...
16:59 Publié dans Journal de Juliette | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : écriture, journal intime, nouvelles et textes brefs, culture
Commentaires
Des petites choses de nos vies dont tu fais des petits bijoux de prose Élisabeth. Qu'il est doux et délicat de lire tes récits. Merci. Je t'embrasse.
Écrit par : Chris-Tian Vidal | lundi, 21 décembre 2009
BON NOEL ELISABETH
Didier rentre à la clinique cet après-midi
Écrit par : laura | mardi, 22 décembre 2009
Dans ma classe, on avait presque tous une harmonica, même si très peu savaient y jouer...Ce qu'on était naïfs... Bises et bonne nouvelle année, chère Elisabeth.
Écrit par : Dana | mardi, 05 janvier 2010
Dana : merci mais ce n'est pas facile de jouer de l'harmonica, contrairement à ce que l'on croit. Bonne année à toi, tu es rentrée enfin, tu as du avoir froid.
Écrit par : elisabeth | mardi, 05 janvier 2010
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