mercredi, 07 mars 2007
LA NUIT
Loin des villes, loin des foules
Quand les heures coulent
Ta présence, sans un mot,
Est pour moi un cadeau.
L'envie me poursuit
Comment résister à la nuit ?
Fuir, peut être fuir
Pour ne rien détruire ?
Mais la nuit ensorceleuse
Reviens, majestueuse,
Mesquine et apaisante,
Galante et enivrante.
06:20 Publié dans Mes poèmes | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : poésie, poèmes, amour, journal intime, écriture
Commentaires
de jolies photos qui illustrent tres bien ton beau poeme!!!
bizzz
Écrit par : monette | mercredi, 07 mars 2007
J'aime vraiment beaucoup ce bout de nuit.
Les photos sont également très expressives (sont -elles de toi?)
N'hésite pas à m'envoyer des poèmes pour Ecriture en Vrac.
Bien à toi.
Écrit par : Ambroise | mercredi, 07 mars 2007
Magnifique.
Merci pour ta commande, tes coms, tes félicitations et tout le reste.
Bisous.
Écrit par : Laura | mercredi, 07 mars 2007
très belle poésie, je découvre...Ariaga
Écrit par : ariaga | mercredi, 07 mars 2007
J'aime ce poème et les photos qui l'illustrent ,je reviens ce soir pour lire ce que j'ai manque
bises bonne journeé
Écrit par : estelle | mercredi, 07 mars 2007
Ambroise : merci mais ces photos ne sont pas de moi. Je pourrais t'envoyer des poèmes pour "écriture en vrac" mais je ne sais pas lesquels envoyer...
Laura : merci pour le Magnifique.
Estelle et ariaga :merci également.
Monette : je te remercie, j'ai voulu l'illustrer au mieux.
Écrit par : elisabeth | mercredi, 07 mars 2007
Ton blog est en fait... au delà des images et des mots... une ambiance, une douceur... auprès de laquelle il fait bon venir se ressourcer. On en oublierai de laisser un com'... mais bon, l'oubli est réparé ! bises à toi
Écrit par : Christian JULIA | jeudi, 08 mars 2007
"La chair est triste, hélas ! et j'ai lu tous les livres.
Fuir ! là-bas fuir ! Je sens que des oiseaux sont ivres
D'être parmi l'écume inconnue et les cieux !
Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux
Ne retiendra ce cœur qui dans la mer se trempe
O nuits ! ni la clarté déserte de ma lampe
Sur le vide papier que la blancheur défend
Et ni la jeune femme allaitant son enfant.
Je partirai ! Steamer balançant ta mâture,
Lève l'ancre pour une exotique nature !
Un Ennui, désolé par les cruels espoirs,
Croit encore à l'adieu suprême des mouchoirs !
Et, peut-être, les mâts, invitant les orages
Sont-ils de ceux qu'un vent penche sur les naufrages
Perdus, sans mâts, sans mâts, ni fertiles îlots...
Mais, ô mon cœur, entends le chant des matelots ! "
Stéphane Mallarmé
bises et très bonne soirée
Écrit par : bernard | jeudi, 08 mars 2007
"L'envie me poursuit" La nuit galante et enivrante s'appellerait-elle: encore et toujours, Reste ou reviens. Une histoire d'amour sans doute...
Je t'embrasse Elisabeth
Geb
Écrit par : Geb | jeudi, 08 mars 2007
Merci Christian, Geb.
Bernard : très beau ce poème que je ne connaissais pas.
Laura : le RV s'est bien passé (4 h d'informatique sans pause et bilan la semaine prochaine à l'ANPE)
Marie Christine : merci également, je n'aime que le calme...
Écrit par : elisabeth | vendredi, 09 mars 2007
Après ce RV épuisant,je te remercie encore plus pour tes coms.
Écrit par : Laura | vendredi, 09 mars 2007
Ok Elisabeth, je te remercie. La nuit est en ligne. Je vais en choisir un nouveau.
A très bientôt, bonne soirée.
Écrit par : Ambroise | vendredi, 09 mars 2007
Ambroise : d'accord et merci. Ce poème je l'aime beaucoup aussi bien que ce soit moi qu'il l'ait écrit....
Laura : oui c'est fatiguant 4 h d'informatique... aussi je vais me coucher.
Merci tout le monde et bonne nuit.
Écrit par : elisabeth | vendredi, 09 mars 2007
Quel beau texte !
Bravo
Bonne nuit et bon week-end
Malaïka
Écrit par : Malaïka | samedi, 10 mars 2007
La nuit est fascinante. "Ta" présence, aussi.
Et ce texte, chouette !
Ça change pas...
Écrit par : Max El Perro | dimanche, 11 mars 2007
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