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mercredi, 18 juillet 2018

LE POTAGER

Dans mon enfance, il y a toujours eu un potager au fond de notre jardin. Mes grands parents cultivaient également des légumes dans un coin de leur cour-jardin.

Incontournable, la culture des légumes permettait de faire des économies et les saisons étaient rythmées par les travaux de jardinage.

Mon père m'avait donné une toute petite parcelle de terre à la limite de la cour gravillonnée. J'y avais dessiné des allées bien droites et j'avais planté le reste des sachets de graines de carottes et de salade dans la terre que j'avais retournée avec mon petit râteau. Chaque jour je surveillais la germination, j'arrosais comme j'avais vu faire, avec l'espoir de récolter, moi aussi, mes légumes. Et j'étais fière du résultat ! Chez mon grand-père paternel, je ne faisais qu'admirer les lignes de poireaux, de salades, de carottes, de cornichons, d'oignons et d'ail, et tout ce qu'il avait planté. 

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Commentaires

bonjour Elisabeth
que de beaux souvenirs pour toi et c'est si bon pour un enfant de savoir comment poussent les légumes, combien le savent de nos jours ?

certes je n'ai pas vécu ça en ville nous avions un jardin mais point de potager par la suite mais j'étais déjà ado ma mère en a eu un a sa maison de campagne mais en dilettante hihi
douce journée a toi et bonne piscine ;)*
bisous ☺

Écrit par : nays | mercredi, 18 juillet 2018

Nays : merci de ton passage. Le potager était toute une institution. Au début de leur mariage, mes parents n'avaient pas de jardin. Heureusement, en 1955 ils ont emménagé dans leur maison neuve que nous venons de vendre ce printemps. J'espère que le nouveau propriétaire aura soin de s'occuper du jardin comme mes parents le faisaient. Je plongerai certainement dans la piscine vers 18 h, je n'y manquerai pas, il est prévu de la pluie en début de nuit. Gros bisous.

Écrit par : elisabeth | mercredi, 18 juillet 2018

Un miracle et beaucoup de patience pour les enfants!
Merci pour ces beaux souvenirs.
Nous avons un énorme potager où nous travaillons à 4 avec notre fille et son mari. En ce moment je passe mes journées à faire des conserves, et les soirées à récolter, Ce n'est pas très varié, hihi. Mais ça ne dure qu'un gros mois.
Bon plongeon, je ferai de même.

Écrit par : colo | mercredi, 18 juillet 2018

C'est très intéressant ton article "souvenirs d'enfance" ... J'apprécie toujours ces retour en arrière.
Merci pour cet agréable partage . Cordiales amitiés & à +

Écrit par : Gabray | mercredi, 18 juillet 2018

De bien beaux et tendres souvenirs ! et voilà maintenant pourquoi tu tiens aussi joliment ton espace ;-) Bisous Elisabeth.

Écrit par : Praline | mercredi, 18 juillet 2018

Bonjour Elisabeth, quel joli souvenir en mots et photo ! Merci pour ce partage. Moi, j'accompagnais mon père quand il arrosait, lui un gros arrosoir, moi un plus petit et j'avais compris qu'on n'arrose rien en plein soleil, on attend l'ombre ! Bises.

Écrit par : Lenaïg | jeudi, 19 juillet 2018

Lenaig : j'ai appris les bases avec mes parents pour les légumes, puis avec les livres pour les fleurs. On apprend à respecter la nature. Bises et bon après midi.
Praline : j'apprécie d'être à la campagne, mes parents habitaient à la lisière de la ville. Derrière leur jardin c'était les pâtures avec les vaches. Bises à toi Pralinette.
Gabray : je raconte un peu toujours les mêmes histoires, pour ceux et celles qui me suivent depuis 2006. Mais je change un peu la façon de raconter. Bon après midi.
Colo : oh quel courage, heureusement que vous êtes plusieurs, ça stimule ! Bon après midi.

Écrit par : elisabeth | jeudi, 19 juillet 2018

Quel bon moment passé avec toi qui m'a aussi rappelé mon enfance quand je tentais de faire pousser des radis dans la lande bretonne. Peu de réussite mais beaucoup de plaisir. amitiés.

Écrit par : Ariaga | jeudi, 19 juillet 2018

bonsoir
quelle chance d 'avoir eu un grand Pére qui aimait cultiver son potager
le mien était ébéniste , il ne cultivait pas de jardins , il était toujours sur son établi
et j aimais aussi le voir travailler son bois

bonne soirée pour toi

kénavo

Écrit par : monica-breiz | jeudi, 19 juillet 2018

c'est des bons souvenirs tout ça! a ce moment là tu étais loin de te douter qu'ils reviendraient dans ta mémoire. Merce d'avoir partager avec nous Bon week end Biz

Écrit par : annie | jeudi, 19 juillet 2018

beau souvenir d'avant ; mes parents avaient un jardin loué à la ville et adolescente je ronchonnais en ramassant les haricots ... bises.

Écrit par : durgalola | vendredi, 20 juillet 2018

Ils son magnifiques tes souvenirs d'enfance et ta photo est un vrai tréssor.

Bisous

Mm

Écrit par : María Mercedes | vendredi, 20 juillet 2018

Maria : merci beaucoup de ton commentaire, une photo prise par mon père en 1954, j'avais un an et demi. Bises et bon week end à toi.
Durgalola : je n'aimais pas éplucher les haricots, mais les cueillir ne me déplaisait pas. Bises et bon week end.
Annie : oui, j'avais un an et demi, et je vivais dans l'instant présent, rien d'autre ne m'intéressait que les joies présentes. Bon week end et bises.
Monica : surtout le père de mon père, car je ne voyais pas souvent l'autre grand père. Ebéniste est un très beau métier, j'en ai connu un justement en Bretagne. Bon week end à toi.

Écrit par : elisabeth | samedi, 21 juillet 2018

Ariaga : j'espère que les radis bretons étaient bons ? Bon week end.

Écrit par : elisabeth | samedi, 21 juillet 2018

Mes parents avaient aussi leur petit potager, je j'en ai conserve de très bons souvenirs.

Écrit par : Pascale | dimanche, 22 juillet 2018

Mon mari en avait un avec ses parents à st Quentin
Et on en a eu un avec un copain
Je peux encore moins faire les haricots depuis mon carpien

Écrit par : Laura | dimanche, 29 juillet 2018

Laura : quand on ne peut pas, pour diverses raisons, ce n'est pas grave. Ici, chez moi, impossible de faire un potager dans mon jardin, trop de cailloux, presque pas de terre. Et puis j'ai une tendinite depuis le 12 mai, il paraît que ça dure au moins 6 mois. Je ne peux pas m'occuper du jardin comme je le souhaite, tailler les arbres qui prennent de l'ampleur par exemple. Bon dimanche.

Écrit par : elisabeth | dimanche, 29 juillet 2018

Mes beaux-parents vivent dans un faubourg de St Quentin où il y avait encore plus de campagne qu'aujourd'hui
Quand avec notre meilleur ami, mon mari a fait un potager en Champagne, le voisin presque pro a dit qu'on ne tirerait jamais rien de cette terre
et on a fait une récolte phénoménale d'haricots verts
J'ai choisi, tu le sais, de vivre dans une grande ville, un appart avec un jardin commun
Nous avons un marché extra avec de très bons légumes et fruits pas chers
et plein d'autres possibilités

Écrit par : laura | lundi, 30 juillet 2018

J'ai mal aux épaules depuis des années
Ca m'empêche parfois de dormir malgré la patch anti douleur(très cher) que je mets
C'est nerveux paraît-il...

Écrit par : laura | lundi, 30 juillet 2018

Laura : vous avez bien fait de faire un potager en Champagne, il faut toujours essayer avant de baisser les bras. J'ai moi-même essayé de planter des radis, de la salade et des carottes dans mon jardin, au début de notre installation dans notre maison. Comme cela n'a rien donné malgré l'arrosage, je me suis abstenue, l'eau coûte cher et il en faut beaucoup plus que dans le Nord. Cela ne vaut pas le coup. Il me reste les fleurs qui donnent satisfaction. C'est déjà pas mal. Bon courage pour tes douleurs, je souhaite qu'elles s'estompent...

Écrit par : elisabeth | lundi, 30 juillet 2018

au maroc, ils cultivent avec très peu d'eau
et exportent

mes douleurs ne s'estomperaient que si mes vertèbres se soudaient d'elles-mêmes sans le disque

Écrit par : laura | lundi, 30 juillet 2018

Laura : pour mes salades, radis et carottes, c'est qu'il y a plus de cailloux que de terre. Mes voisins ont fait aussi un essai en 2014, en mettant beaucoup de sacs de terreau. Ils ont semé des pommes de terre, des haricots et des tomates. L'année d'après ils n'ont pas recommencé. Ils ont baissé les bras, cela ne donnait presque rien, malgré le terreau.

Écrit par : elisabeth | lundi, 30 juillet 2018

Mes parents ont toujours eu un potager, grand lorsque nous vivions à la campagne et plus petit ensuite...

Écrit par : écureuil bleu | lundi, 30 juillet 2018

Ecureuil : on fait des économies mais il faut quand même faire un minimum pour travailler la terre et ensuite pouvoir récolter. Bon après midi ! bises.

Écrit par : elisabeth | mercredi, 01 août 2018

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