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mardi, 30 juin 2009

PSYCHOLOGIE : INCOMPETENCE DES CHEFS ET DES DIRIGEANTS

Les chefs sont rarement nommés sur leur compétence.

Dans tout système où des gens décident pour d'autres on retrouve les mêmes types de dysfonctionnements. On retrouve à la tête des gens qui ne sont pas à la hauteur de la tâche par manque d'esprit critique.

Le principe de Peter est le système dans lequel les employés les moins compétents sont toujours affectés aux postes où l'on est sûr qu'ils produiront le moins de dégâts, c'est-à-dire l'encadrement.

Les managers qui savent décider favorisent le fait de parler des erreurs plutôt que de les sanctionner.

Commentaires

Bonjour Elisabeth,

J'allais te demander qui avait écrit ces ...âneries! mais comme tu ne donnes pas l'auteur je me suis dit que c'était peut-être toi!!!
Alors si c'est le cas c'est que tu as tes raisons! mais si tu es confrontée à un cas qui correspond à ce que tu écris - il y en a c'est sûr! - je me garderais bien de généraliser!!
Bises

Écrit par : sister for ever | mardi, 30 juin 2009

Sister : je n'ai pas écrit ce texte. Je le reproduis afin que chacun puisse dire ce qu'il a envie de dire. Il est certain qu'il ne faut pas généraliser. Mais quand on est confronté à ce genre de problème on essaie de chercher une raison.... Je suis d'accord avec toi : il y a des chefs biens et à l'inverse des chefs incompétents.

Écrit par : elisabeth | mardi, 30 juin 2009

Pour une femme de chef super compétent, c'est un peu fort de café... sourire

Écrit par : Laura | mercredi, 01 juillet 2009

Bonsoir Elisabeth,
Tout ce que je peux en dire, c'est que celui qui a écrit ce texte est loin d'être fort compétent.
Amitiés

Écrit par : Christian | vendredi, 03 juillet 2009

Je suis bien d'accord avec tout ce qui est écrit!!

bizz

Écrit par : monette77100 | samedi, 04 juillet 2009

Ah ! Monette est d'accord, c'est qu'elle a eu certainement affaire à des chefs dans ce genre.

Écrit par : elisabeth | samedi, 04 juillet 2009

Le "rarement" est un peu fort; plutôt "parfois" comme ça arrive chez les sulbaternes du chef; il y a des nuls partout non?

Écrit par : Laura | dimanche, 05 juillet 2009

J'ai souvent remarqué cela mais je me garderai bien de citer des noms.... Les chefs sont effectivement les moins compétents, pour ne pas dire carrément incompétents dont on se débarrasse en leur donnant des postes à responsabilité. Et une fois à ces postes, il n'en peuvent plus d'emm... ceux qui compétents leur renvoient une image dégradée d'eux-mêmes !

Écrit par : Chris-Tian Vidal | dimanche, 05 juillet 2009

Je suis navrée de l'image du monde de l'entreprise que véhicule cet échange!!!! Elle est fausse bien sûr, et les «canards boiteux» qui existent ne devraient pas permettre une telle dérive des appréciations...
D'ailleurs dans une grande entreprise il y a des chefs à tous les niveaux. S'ils sont tous mauvais, l'entreprise n'existe pas longtemps! Evidemment, quelquefois le copinage a fait qu'untel a eu une promotion plutôt qu'un autre... mais ensuite il doit faire ses preuves...
Quant à une petite entreprise elle ne peut même pas se permettre d'avoir un chef incompétent! en général c'est quelqu'un qui a mouillé sa chemise, et engagé ses biens propres.
Précision: j'ai fait ma carrière dans une grande entreprise; j'ai eu des chefs rarement incompétents, quelquefois caractériels. Et à mon niveau j'ai eu aussi à «commander». J'espère que c'était avec compétence... Mais il fallait g2rer les bons... et les moins bons!
Bon; c'est le dernier commentaire que je fais sur ce sujet!!!

Écrit par : sister for ever | mardi, 07 juillet 2009

Merci Sister... Ravie de trouver quelqu'un qui partage mon point de vue

Écrit par : laura | mardi, 07 juillet 2009

Le livre de Laurence J. Peter et de Raymond Hull provoque des réactions de la part de tes visiteurs, Elisabeth (Ha Ha Ha !!!!).


Le principe de Peter est présenté comme un ouvrage satirique et il faut le prendre comme tel.

Il m'est arrivé de rencontrer des chefs qui n'étaient pas à leur place, parachutés dans cette fonction par une camaraderie quelconque.

D'autres qui ne pensaient qu'à leur intérêt personnel et à leur avancement.

D'autres qui étaient promus pour terminer leur carrière et qui n'étaient plus concernés par ce qui se passait.

D'autres encore, consciencieux, professionnels et solidaires de leur équipe, qui finissaient par se faire taper sur les doigts par la direction et se retrouvaient mutés dans une voie de garage.

Et d'autres encore qui font du bon boulot en tous points et qui sont toujours là.

Autant de profils différents de chefs.

Et j'en oublie certainement.


Je trouve surtout regrettable que la plupart des responsables ne soient pas capables de régler les conflits qui peuvent avoir lieu entre collègues.

Lorsque des frictions, des accrochages, apparaissent au sein d'une équipe, le chef ne veut pas, bien souvent, intervenir.

Je n'ai jamais compris cette incapacité, pour un supérieur, à gérer cela.

Lorsqu'un problème de ce genre arrive, la direction préfère ne pas s'en mêler.

Personne ne veut s'en occuper.

Je ne trouve pas cela très "responsable".

C'est pourtant un soucis que tout dirigeant devrait être soucieux et capable de traiter.

Pour parler vulgairement : il suffit juste d'avoir "des couilles".

Écrit par : Gilles | lundi, 20 juillet 2009

Merci Gilles de nous donner... enfin... le nom des auteurs de ce texte

Écrit par : laura | lundi, 20 juillet 2009

De rien, Laura

Écrit par : Gilles | lundi, 20 juillet 2009

Merci Gilles aussi car j'avas perdu les références des auteurs et tu as bien su le trouver. Merci pour ton long commentaire également.

Écrit par : elisabeth | mercredi, 22 juillet 2009

Merci à vous tous et aussi à Sister pour son long commentaire.

Écrit par : elisabeth | mercredi, 22 juillet 2009

De rien, Elisabeth

Tu as lu ce livre ?

Écrit par : Gilles | jeudi, 23 juillet 2009

Gilles : non, je dois avouer que j'avais relevé les phrases que j'ai retranscrites au-dessus, juste sur Internet, car elles me semblaient percutantes.

Écrit par : elisabeth | jeudi, 23 juillet 2009

Je ne tiens pas mes promesses.. dans la mesure où l'intervention de Gilles a relancé une discussion intéressante, et comme Elisa et Laura je l'en remercie.
Cela dit tapez «Principe de Peter» sur votre moteur de recherche favori, et vous verrez qu'effectivement c'est un «postulat» qui suscite (heureusement!!!) bien des réactions - sans attendre les nôtres!
En fait il dit que chacun - et dans une organisation en particulier chaque employé - tend vers son seuil d'incompétence.... Cela veut dire que si on est dans le domaine qui nous convient il faut s'arrêter juste avant de le dépasser.... cela ne devrait pas être trop compliqué, on risque juste de petites erreurs!!
MAIS....
la vraie question n'est-elle pas que chacun puisse exprimer ou simplement trouver dans quel domaine il est compétent!!! Vous avez sûrement autour de vous d'anciens cancres - donc bons à rien???? - qui ont pu devenir de remarquables artisans, artistes, cuisiniers, musiciens.... voire des génies dans ces domaines...
Eh bien ça nous permet de généraliser: chacun doit pouvoir trouver sa voie (ou ses voies, regardez Léonard de Vinci!!) et à partir de là il n'y a pas de raison qu'il y ait des limites.

Écrit par : sister for ever | jeudi, 23 juillet 2009

Sister : tu as eu raison de revenir intervenir Le long commentaire de Gilles est intéressant comme le tien. En effet, si on cherche bien, on a toujours en soi un domaine où l'on peut exceller. Il n'est pas nécessaire d'avoir fait de longues études pour être une bonne cuisinière, ou peindre ou dessiner... du moment que l'on est sérieux dans ce que l'on fait et qu'on le fait avec plaisir, avec le coeur. On va puiser au fond de soi pour y arriver.

Écrit par : elisabeth | vendredi, 24 juillet 2009

Les commentaires sont fermés.