jeudi, 05 juillet 2007
L'IVRESSE
L'ivresse présente du matin au soir
Qui comble un manque sans espoir
Qui nous met au bord du gouffre
Quand la tête et l'àme souffrent
L'ivresse des mots sur le papier
Qui sont débités, sans être reniés
En vertige doux et libérateur
Qui veut atteindre les hauteurs
L'ivresse qui court après le désir
De ton amour en devenir
Que tu cherches à contrôler
Mais que tu veux abuser
L'ivresse de l'amour d'un soir
Celle qui donne de l'espoir
Qui te met au bord du gouffre
Que le corps et les sens déchiffrent.
(24.06.07)
22:07 Publié dans Mes poèmes | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : poésie, poème, amour, tendresse, écriture, journal intime
Commentaires
Tu as participé au concours sur ce thème?
mERCI POUR TON COM
Bonne nuit.
Bisous
Écrit par : Laura | jeudi, 05 juillet 2007
Livre est ce ton désir à gravir les lignes pour les redescendre aussi vite car il est si curieux que le soir puisse rimer avec espoir…Alors quitte à être ivre autant l’écrire et l’écrire et l’écrire…
Écrit par : LTDS | vendredi, 06 juillet 2007
Laura : non je n'ai pas participé car je n'avais pas écrit de poème sur ce thème avant ce 24 juin. Je n'avais pas l'inspiration.
LTDS : merci, le soir pour moi peut rimer avec espoir....
Écrit par : elisabeth | vendredi, 06 juillet 2007
Si, si, cette fois, c'est vraiment moi, va voir dans le tag roman (à trouver à partir du tag littérature dans les 1OO meilleurs tags sur la page d'accueil Haut et Fort et clique sur le blog "En toute liberté". Ne le commente pas ! Danger ! Mais lis quelques lignes, tu comprendras tout de suite que notre usurpateur a trouvé sa vois. Il est probable qu'il nous embêtera plus, il fera sûrement partie de la communauté des hisurtes !
Écrit par : domi_no | vendredi, 06 juillet 2007
C'était pas un usurpateur, c'était une usurpatrice ! C'était peut-être celle à qui je pensais. Elle écrit au féminin !
Écrit par : domi_no | vendredi, 06 juillet 2007
Belle tristesse de l'ivresse et aussi de l'espoir. ne des facettes de l'amour. Amicalement.
Écrit par : ariaga | vendredi, 06 juillet 2007
L'ivresse est belle à la bouche d'Elisabeth...
Colporteur, dans son auberge noie son errance...
Entrez, la table est mise
Écrit par : Colporteur | vendredi, 06 juillet 2007
Et bien , l'inspiration est venue et de bien belle façon.
Bravo.
Merci pour ton com.
Bonne soirée.
Bisous.
Écrit par : Laura | vendredi, 06 juillet 2007
Bonsoir elisabeth en effet l'espoir rime toujours avec espoir ne dit on pas la nuit porte conseil?
J'ai aime ce poème et comment tu as decris l'ivresse de l'amour exulteé par l'ivresse de l'ecriture
gros bisous bon we
Écrit par : estelle | vendredi, 06 juillet 2007
C'est bizarre depuis que j'écris beaucoup, je ressens moins d'ivresse à écrire le poème que quand j'écrivais peu, ou lorsque j'écrivais à la main plutôt qu'au clavier. Ecrire directement sur une machine, ce n'est plus la même chose !
Pour être ivre des mots que l'on écrit, il faut avoir un amour impossible, mais je n'en ai pas.
Écrit par : j.a. | vendredi, 06 juillet 2007
ne vivre que d'ivresses!!! le rêve!!
bon week-end Elisabeth... moi je vais encore travailler
Écrit par : monette | vendredi, 06 juillet 2007
Ivresse des mots, les répèter jusqu'à ce qu'ils ne veuillent plus rien dire et en savourer la quintessence jusqu'à l'éblouissement...
Cordialement
Marie Lanson (rubrique"plumes")
Écrit par : Marie Lanson | samedi, 07 juillet 2007
Comme il est si curieux !!! Je referme ici une boucle...une spirale...
Finalement le monde des mots n'est pas si vaste..."en vertige doux et libérateur"...MAIS encore plus !!!
Et je réitère .. :>)
Bien à toi Elisabeth...et puis au passage je salue Laura...
Écrit par : Aslé | samedi, 07 juillet 2007
Aslé, la porte de chez moi t'est ouverte pour que tu me salues directement...
Écrit par : Laura | dimanche, 08 juillet 2007
L'ivresse arrive, nous emporte dans une ronde sans fin, de joie, de peine, comme un vertige.
Bien à toi.
Écrit par : Ambroise | lundi, 09 juillet 2007
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