vendredi, 25 mai 2007
OH ! SOLEIL !
Oh ! Soleil ! arrête ta vigueur
Il n'est pas encore l'heure
De céder à la paresse
Quand tu tiens tes promesses.
Un léger voile nuageux
Pour soulager le besogneux
Même si la voilure t'irrite,
Voilà ce que tu mérites.
Avec ton regard suffisant
Accepte tous ces présents,
Ces chants impénétrables
De la nature redevable.
07:30 Publié dans Mes poèmes | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : poésie, poème, écriture, journal intime
Commentaires
Très bien ton nouveau poème. Tu peux aussi faire dans le style néo-classique comme le jeune Verlaine dans le poème ci-dessous. J'ai aussi des élèves qui écrivent dans le style classique (ce sont des latinistes) avec "Les flêches de Cupidon", les beautés d'Athéna, etc...
Écrit par : j.a. | vendredi, 25 mai 2007
Très bien ton poème, cette fois-ci tu as montré que tu savais faire aussi dans le très classique comme dans le poème en dessous le jeune Verlaine.
Écrit par : domino | vendredi, 25 mai 2007
Sur ton autre blog au deuxième commetaire j.a, je n'arrive plus à commenter, j'ai la vérification des lettres. Donc, l'hébergeur ne bannit pas les bons pseudos.
Écrit par : j.a. | vendredi, 25 mai 2007
Je veux dire : il bannit les bons pseudos.
Écrit par : j.a. | vendredi, 25 mai 2007
Merci j.a.. Il faisait tellement chaud mercredi que j'ai écrit ce poème un peu ironique.
Écrit par : elisabeth | vendredi, 25 mai 2007
très joli. j'aime beaucoup . Passe un bon week end!
Écrit par : Carla | vendredi, 25 mai 2007
Je trouve ce poème drôle....
Merci pour tes coms.
Bisous.
Écrit par : Laura | vendredi, 25 mai 2007
Bonsoir elisabeth j'aime ce nouveau style
ici aussi il commence à faire chaud!
gros bisous passe un tres bon we
Écrit par : estelle | vendredi, 25 mai 2007
un joli clin d'oeil à ce bel astre
Écrit par : monette | vendredi, 25 mai 2007
J'aime bien le soleil de printemps mais pas la chaleur quand je travaille...
Qui est ce "monstre" qui a signé les deux commentaires précédents?
Écrit par : Enriqueta | samedi, 26 mai 2007
mais de paresse n'est il pas celle qu'inspire le temps au temps, non celle ressentie comme telle mais la paresse d'un chemin rocailleux qui laisse sur ses bas côtés à chaque fois un bout de ceur dépenaillé
Écrit par : mandoue | lundi, 28 mai 2007
ton poème en ligne sur Ecriture en Vrac.
Bonne journée.
Écrit par : Ambroise | mardi, 19 juin 2007
Merci beaucoup Ambroise, je passe chez toi.
Écrit par : elisabeth | mardi, 19 juin 2007
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