jeudi, 19 octobre 2006
ON N'EST PAS SERIEUX, ON A 16 ANS (pour Laura)
Un amour qui semble possible
Qui s'échappe pour un motif futile
Fleuri trop vite, trop tôt
On n'est pas sérieux, on a seize ans
Amour fleuri trop tôt
On se dit qu'on a tout le temps.
Seize ans, premiers émois
On n'ose pas faire le premier pas
Où es-tu mon beau prince noir ?
Aurais-je encore la joie de te revoir ?
Je te cherche dans les îles bleues
Je lis encore sans oublier
Ton écriture à l'encre bleue
Restée gravée sur le papier
Le feu brûle encore la nuit
Dans mes rêves où je fuis
Je me dis que c'est bien ainsi
Tu m'as protégée de ta vie
De révolté, de colères
Contre ce monde de misères
Qui ne t'a pas fait de cadeaux
Il me reste juste tes mots
J'espère te revoir tout là-haut
Dans un monde qu'on dit très beau
Où l'on trouve le repos
Et où l'on oublie ses maux.
23:05 Publié dans Mes poèmes | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : poésie, amour
Commentaires
un seul mot: magnifique
Écrit par : laura | vendredi, 20 octobre 2006
oui un tres beau poeme!!!
Écrit par : monette | vendredi, 20 octobre 2006
j'ai beaucoup aime ton poème je ne m'y connais pas trop en rimes mais j'ai trouve l'ensemble harmonieux ca me parle
bizz merci d'etre passeé
Écrit par : estelle | vendredi, 20 octobre 2006
Merci à toutes les 3, merci beaucoup.
Écrit par : elisabeth | vendredi, 20 octobre 2006
mélancolique comme un joli regret… mais beau comme un souvenirs
Écrit par : Yoyostereo™ | vendredi, 20 octobre 2006
"Le feu brûle encore dans la nuit où je fuis..."
Oh c'est beau ça; j'aurais voulu l'écrire.
Écrit par : Bona | vendredi, 20 octobre 2006
tu n'as pas répondu à mon com sur mon blog à propos de ton prince noir
bonne journée
bisous
Écrit par : laura | samedi, 21 octobre 2006
Merci Elisabeth pour ce poème. Un petit mot à Estelle; Nul besoin de "sy connaître" comme tu l'as dit tu as aimé et cela t'a parlé. un moment d'émotion. Une fibre intime touché. La poèsie c'est l'art de dire et de faire comprendre autrement qu'avec les mots à l'état brut.
Encore merci Elisabeth tu le reverras peut-être un jour ce premier amour...
Écrit par : Geb | samedi, 21 octobre 2006
Mais tu ne devais pas le retrouver ici-bas, ton beau prince noir. Je croyais que tu l'avais retrouvé par Copains d'Avant. Il doit avoir les cheveux gris, maintenant !
Écrit par : domino | dimanche, 22 octobre 2006
Ah c'est drôle ! D'abord je n'arrive pas à publier mon commentaire et je clique n fois sur "envoyer". Et maintenant il est imprimé autant de fois que j'ai cliqué ! Excuse-moi d'avoir accaparé sans le vouloir toute ta rurique "commentaires".
domino
Écrit par : domino | dimanche, 22 octobre 2006
MERCI MILLE FOIS POUR LA DEDICACE
Écrit par : laura | jeudi, 26 octobre 2006
Laura, tu regardes bien, il me semble... Je l'ai dédicacé hier pour toi. Ce poème a déjà été publié (je dis cela pour les autres sauf Domino et Laura qui l'avait remarqué). Il s'appelait TON ENCRE BLEUE et j'y ai rajouté quelques vers au début, un bout de poème que j'avais commencé sans le terminer. Voilà ce que cela donne.
Écrit par : elisabeth | jeudi, 26 octobre 2006
Mais, connaissez-vous la chanson que Léo FERRE a interprétée : ON N'EST PAS SERIEUX QUAND ON A 17 ans. Un poème de Arthur RIMBAUD ?
Écrit par : elisabeth | jeudi, 26 octobre 2006
je connais le poème et la chanson
merci pour tes comm
bonne journée
Écrit par : laura | vendredi, 27 octobre 2006
Je ne connaissais pas la chanson j'y remedie aujourd'hui,merci elisabeth
Écrit par : estelle | vendredi, 27 octobre 2006
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