vendredi, 12 octobre 2007
HORLOGES
En ce moment mes journées sont tellement bien remplies que les vers du poète Emile VERHAEREN (ci-dessous) ne sont pas mieux adaptées à ma situation actuelle.
Les horloges
Volontaires et vigilantes,
Pareilles aux vieilles servantes
Boîtant de leurs sabots ou glissant sur leurs bas,
Les horloges que j'interroge
Serrent ma peur en leur compas.
22:18 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : Ecriture, journal intime, poésie, poèmes
Commentaires
Bonjour Elisabeth
Je viens te dire que je pense à toi dans cette situation et je t'envoie tout plein d'amour.
Gros Bisous et câlins.
Écrit par : MamieJessy | samedi, 13 octobre 2007
C'est avec plaisir que je redécouvre ce poête du nord. Nous devrions tous avoir au moins un de ces bouquins dans notre bibliothèque.
Je t'emmène en avesnois ?
Écrit par : instantsmagic | samedi, 13 octobre 2007
Ces mots trouvent beaucoup d'écho en moi....La vie réglée comme une horloge. L'horloge des contraintes. Heureusement qu'elles sont librement consenties. Amitiés, je pense à toi .
Écrit par : ariaga | samedi, 13 octobre 2007
Le temps qui file trop vite puis s'arrête quand on attend une bonne nouvelle... qui ne vient pas
Bon courage à toi
Bisous
Écrit par : Laura | dimanche, 14 octobre 2007
l'horloge qui règle notre vie.... ne pas gaspiller le temps qui passe.... bien le remplir !! le vivre chaque jour intensément..
je pense aussi à la chanson de J. Brel : les vieux....le bruit de l'horloge qui rythme le temps qui s'écoulebon dimanche Elisabeth
Écrit par : loula2 | dimanche, 14 octobre 2007
Les vieilles horloges en bois, ont quelque chose de vivant et de rassurant avec leur tic-tac. A moins qu'il ne soit minuit et que leur bruit j'ajoute à des craquements étranges dans le plancher.
Écrit par : Stephane | dimanche, 14 octobre 2007
Bon courage à toi et bises.
Amitiés de Malaïka
Écrit par : Malaïka | lundi, 15 octobre 2007
Léo Ferré chantait, "on ne compte plus, c'est le temps qui nous compte"...
Quel bonheur de revenir sur ton blog...
Tendresses
Écrit par : christian julia | lundi, 15 octobre 2007
Et pour en revenir aux horloges, il y a "la pendule d'argent qui ronronne au salon, qui dit oui, qui dit non, qui dit je vous attends", dans "Les Vieux" de Jacqes Brel.
Écrit par : domi_no | mardi, 16 octobre 2007
Merci Domino pour l'extrait de la chanson de Brel.
Écrit par : elisabeth | mercredi, 17 octobre 2007
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