vendredi, 30 juin 2006
LA POLITIQUE
J'ai essayé de faire de la politique mais je n'y arrive pas. Ce n'est pas dans mon profil.
Aussi, mon blog restera ce qu'il est jusqu'à maintenant : un blog "frais et paisible comme un jardin dans lequel on fait de bonnes balades reposantes" (Ce sont les paroles de Thierry de : actualités.hautetfort.com).
22:21 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : Politique, de tout et de rien, blabla de fille
Commentaires
Mais tout est politique, même la balancelle et les grillons.
Ailleurs, c'est un balcon et le bourdonnement du périphérique !
Écrit par : educnat | vendredi, 30 juin 2006
Si tu veux garder tes ami(e)s, tu as raison. Il y a bien d'autres choses à faire ...
Écrit par : instants magiques | samedi, 01 juillet 2006
La politique c'est une affaire de pouvoir et je n'aime pas les rapports de force. Je laisse donc cela à d'autres qui ont la politique dans le sang.
Écrit par : ELISABETH | samedi, 01 juillet 2006
Bjr Elisabeth.
Oui, il fait une chaleur d'apocalypse mais je supporte. Je serai à la Roque comme tous les ans. Ce n'est pas loin. Pour la musique et surtout pour le piano je suis prêt à faire tous les sacrifices. Remarque c'est sous les platanes centenaires du parc du château de Florans et il y fait frais, les cigales chantent durant tout le concert. C'est agréable.
Bonne journée à toi et j'espère que tes roses ne souffrent pas.
Écrit par : Bona | lundi, 03 juillet 2006
Je ne peux que cautionner ce qui est écrit ci-dessus. La politique des partis n'est pas une bonne politique. A l'origine la racine "polis" dans politique signifie cité, ville. La politique, c'était discuter de ce qu'il serait bon de faire pour la ville et le bien commun. Chez les grecs, qui ont inventé la politique, il n'était pas questions de gros sous, de restrictions budgétaires. Quand il fallait construire, ils construisaient quelque soit le temps qu'il fallait y passer et le coût de l'extraction des matériaux importait peu. Dans un monde où il n'y avait encore presque rien, on construisait sans compter. Il fallait laisser la trace de l'esprit humain et de l'esthétique que les hommes avaint trouvé dans le monde, créer une harmonie dans ses nouvelles contructions en accord avec l'harmonie du monde. Voilà ce qu'était la politique pour les grecs, du moins les Athéniens; mais le terme de politique a été galvaudé. On a fait de la politique un bas commerce lié à la soif de pouvoir, à l'intérêt des meileurs. Aussi dans les pays communistes, qui se disaient égalitaires les sbires du parti s'embourgeoisaient, en RDA par exemple, ils s'achetaient de belles villas au bord de la Baltique, villas qui faisaient envie au peuple, le peuple, ce fameux fer de lance des démocraties populaires, le pueple qui se sentait trahi : "Eux ou les capitalistes, c'est du pareil au même", disait-ils alors. La jeunesse regardait du coté de la scène alternative occidentale, et écoutait en cachette sa musique, elle ne regardait pas du coté des politiciens de partis.
En fait, ce qui manque à la politique, c'est une autre alternative...
Je me suis toujours dit : pour trouver la politique que je veux, il faudrait que je fonde mon propre parti. Mais je suis contre les partis.
Voilà ce qu'il faudrait faire :
Abolir tous les partis et faire des conseils municipaux, de régions, d'état sans partis, etc... en se disant: on est ici pour discuter de ce qui est meilleur pour la vie des gens, sans clivage politique.
Les élus seraient élus individuellement, et non sur des listes, sur des programmes qu'ils présenteraient au peuple.
Voilà je fais un programme pour ma réforme de l'enseignement et on m'élirait comme conseillère à l'enseignement dans le conseil municipal, de département, de région, parlement d'état, etc...
Le peuple pourrait trancher lui-même entre ceux qui sont assoifés de pouvoir et d'argent et ceux qui pratiquent la politique au sens vrai et premier du terme, au sens de "vie de la cité","civitas", et chercherait dans les conseils uniquement à prendre les meilleures décision en fonction du bien commun. On ne serait pas bloqué par des "majorités" qui resteraent les mêmes pour tant et tant d'années. Chaque conseiller ou député serait libre lors des votes de ce pour quoi il vote et ne devrait plus alors se conformer à la volonté d'un parti particulier. Il serait libre de ses choix en fonction du programme qu'il a élaboré et donné aux citoyens de sa ville, de sa région, de son pays, de sa confédération, et s'il ne correspond plus à ce pour quoi il a été élu, les citoyens auraient le droit de faire des pétitions demandant qu'il soit remplacé, sauf dans le cas où entre deux votes, la situation aurait évolué d'une façon qui ferait que pour le bien de la cité, il faudrait changer d'avis.
domino
Écrit par : domino | lundi, 03 juillet 2006
Entièrement d'accord avec toi Domino. Merci pour ton long commentaire.
Bon concert Bona. Quand il fait si chaud on reste au frais, à se détendre. Mes roses sont brûlées par le soleil. Aujourd'hui, il joue à cache-cache derrière les nuages... Toute la France a chaud. La petite pixie de Domino a mis sa plus belle robe légère.
Écrit par : ELISABETH | lundi, 03 juillet 2006
a) Voir aussi mon commentaire à la sauce rallonge que j'ai recopié et agrandi sur mon blog.
b) C'est vrai que la petite pixie a mis une belle robe, mais elle en a encore d'autres plus courtes. Si elle était dans le midi, elle mettrait aussi ses maillots de bain.
Écrit par : domino | lundi, 03 juillet 2006
Tu étais sur mon blog ce matin en même temps que moi, Domino. Je suis donc allée ensuite sur ton blog et j'ai vu ta nouvelle note.
Écrit par : ELISABETH | lundi, 03 juillet 2006
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