vendredi, 31 octobre 2014
FUMEES CHAUDES
On peut avoir le coeur fané
Comme les feuilles se tassent
Et que le vent a glanées
Mais crois-tu que l'on se lasse ?
Pour moi c'est de l'émeraude
Ce temps qui passe en fumées chaudes
Autour du jardin dépouillé
Il reste encore de belles années
Des vies, des matins embrouillés
Nous irons tout enrubanner.
15:48 Publié dans Mes poèmes | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : poèmes, société, sentiments, psychologie, écriture, saisons, littérature, culture
Commentaires
bravo!
j'ai vu ton you tube, bravo, je voulais mettre ce com mais je n'y arrive pas: dans le parc derrière le château-lycee hotelier où je travaille, et où je pique-nique parfois, on voit des animaux comme des ecureuils et des beaux et anciens arbres
c'est ce que j'aime dans la 14 e grande ville où je vis: il y a tout ce qu'il faut en culture et autre; et on est vite à la campagne(comme où je travaille: 10 km environ), montagne etc.
Écrit par : laura | vendredi, 31 octobre 2014
Je veux bien me réveiller chaque matin avec un de tes poèmes en tête à regarder par la fenêtre l'aube.
Écrit par : le croquis de cote | dimanche, 02 novembre 2014
Laura : merci beaucoup. Il y a des lieux superbes. Quelquefois on les trouve par hasard, quelquefois, on nous les indique. Bon week end à toi (je poursuis la lecture de ton livre en alternance avec tous les livres de Marcel Proust).
Le croquis : merci de ton appréciation..... Bon week end.
Écrit par : elisabeth | dimanche, 02 novembre 2014
bonjour Elisabeth..... comme tu écris bien..tu vois la vie d'une manière positive....continue... c'est ainsi qu'il faut affronter ce monde... Je te fais un bisou de toulouse ensoleillé
Écrit par : loula | dimanche, 02 novembre 2014
Bonjour Laura et bravo pour ta 3ème place à la dictée de la Fête du Livre (j'ai vu la photo de la remise du prix).
Merci, sur 200, ça m 'a fait plaisir, le 1er n'était pas loin et un gros et beau livre sur l'art en cadeau; rechercher" le musée de mes rêves" sur mon blog
Pour ce qui est de la veuve de Serge Reggiani, je ne sais pas si elle était mariée avec lui, bientôt à la rue pour un appartement de 30 m2 avec loyer de 900 € avec une retraite de 400 €, je pourrais dire que ce loyer est tout d'abord excessif mais comme elle vit à Paris, c'est à peu près normal de payer cela, il me semble. Elle a un avocat, je pense qu'il la défendra bien, j'espère pour elle. C'est lui qui tient la solution ou les solutions pour elle.
Je n'ai pas lu l'article en entier
Bon dimanche à toi et ton mari."
BONNE SOIREE
Écrit par : laura | dimanche, 02 novembre 2014
les paysages, en plus, sont mon sujet, tu le sais mieux que quiconque
bonne lecture de mon livre
j'aime tes mots mais je n'y vois pas ta manière de voir la vie, comme Loula ou comme tu le fais pour mes mots
Tu lis les volumes de la" Recherche" en désordre?
Écrit par : laura | dimanche, 02 novembre 2014
Les mois , les années passent et pourtant Elisa tu gardes toujours cette fraîcheur dans l'écriture . Et tes mots chantent et dansent pour le plaisir de tes lecteurs et lectrices .
Perso je n'écris plus de poèmes ( mon entourage le regrette..) je ne chante plus du tout ( j'ai même donné mes instruments à l'un de mes petits fils ) en raison d'un brusque déficit à une oreille qui me déstabilise énormément et me désoriente à l' écoute .
Mais je marche énormément , je roule à vélo tous les jours ,je danse breton. Cette année je n'ai pu voyager ( indisponibilité de Marie) . Cependant j'ai encore la tenue d'un blog qui m'occasionne bien des recherches , le jardin , la lecture . Et j'adore" bouigner".
PS / Tu as vu juste en pressentant que je culpabilisais de ne pas venir te visiter aussi souvent que tu parcours mes notes .
Bisou de la Bretagne . Gil
Écrit par : gil Brieuc | dimanche, 02 novembre 2014
Laura : je lis "A la recherche du temps perdu" de Marcel PROUST, un seul livre de 2 400 pages, tout PROUST dans un seul livre. Ils sont dans l'ordre tous les volumes puisque c'est l'éditeur qui les a mis les uns après les autres. Je les lis donc tels qu'ils se présentent. Et je peux te dire que les pages sont aussi fines que les pages du Code Civil. ou n'importe quel Code.
Gil : merci beaucoup de venir me lire encore une fois, ça fait longtemps que je tiens mon blog, bientôt 9 ans. Je sais pour ton oreille et donc pourquoi tu ne chantes plus. Merci encore et bonne continuation.
Écrit par : elisabeth | lundi, 03 novembre 2014
Bonjour Elisabeth, quel beau poème, positif, plein de vie et d'espérance. C'est ainsi que je ressens également la vie, même ce n'est pas toujours aussi simple. Bonne journée !
Écrit par : Praline | mardi, 04 novembre 2014
Praline, merci. Je l'ai écrit suite à la retrouvaille d'un copain de vacances qui était amoureux de ma petite soeur. Je lui ai envoyé quelques photos et parmi mes photos figurait 2 avec un copain de ce copain que j'avais pris en photo en 1971. Ce copain de vacances était toujlours en contact avec ce garçon. Il lui a donc envoyé et j'imagine que ce garçon a été heureux de se revoir après 43 ans. Bon après midi.
Écrit par : elisabeth | mardi, 04 novembre 2014
oui nous irons tous enrubanner les jours qui nous restent à vivre....
Écrit par : Old Nut | mercredi, 05 novembre 2014
avec ce type de papier,c'est un pleiade (la reference des références comme j'ai pour Nerval) ou un quarto ou ... une édition que je ne connais pas...
je n'ai moi qu'un ou deux volumes dont un que j'ai étudié à la Sorbonne par correspondance
je crois que ce ne sont pas les premiers donc on peut lire en désordre, c'est ce que je voulais dire
Écrit par : laura | dimanche, 09 novembre 2014
Laura : j'ai commencé le gros livre de 2 400 pages et il débute par DU COTE DE CHEZ SWAN. J'ai bientôt terminé les 325 pages.
Old Nut : nous irons les enrubanner pour les préserver. Merci et bon dimanche.
Écrit par : elisabeth | dimanche, 09 novembre 2014
swann sur la couverture en photo, avec deux n ou pas?
Écrit par : laura | dimanche, 16 novembre 2014
Laura : j'ai fait une note spéciale avec la photo de la couverture du livre de PROUST que je lis actuellement.
Écrit par : elisabeth | dimanche, 16 novembre 2014
C'est superbe de tristesse et de nostalgie.
Écrit par : enriqueta | dimanche, 16 novembre 2014
Enriqueta : merci, c'est de la nostalgie de voir passer le temps mais il reste de beaux jours encore.
Écrit par : elisabeth | lundi, 17 novembre 2014
Elisabeth, j'étais à l'instant sur ton blog quand ton message est arrivé.... C'est étrange.... une bonne relation...
Il fait gris sur Toulouse.... les feuilles mortes recouvrent doucement la pelouse...
bises
Écrit par : loula | lundi, 17 novembre 2014
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