samedi, 29 mars 2014
CITATIONS
La patrie d'un cochon se trouve partout où il y a du gland.
(FENELON)
On croit mourir pour la patrie ; on meurt pour des industriels.
(Anatole FRANCE).
15:29 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : citations, société, auteur, écriture, littérature, culture, blog, internet, hautetfort
Commentaires
Bonsoir Elisabeth, je crois que mourir pour la patrie, c'est bien fini, c'était bon autrefois pour nos pauvres soldats de la guerre 14/18 et encore, ils y étaient forcés. Maintenant on a perdu tout idéal, c'est dommage. Gros bisous
Écrit par : danae | samedi, 29 mars 2014
Quelle justesse dans les mots d'Anatole France ! Elle illustre bien Apocalypse 14/18 que je viens de regarder.
Écrit par : Bonheur du jour | samedi, 29 mars 2014
j'ai été heureusement surpris par la jeunesse du nouveau maire, pas par son tract de campagne
nous avons vu ton village hier aux infos de France 2
A sté, ça risque de basculer malgré les triangulaires
je m'intéresse au vin par goût et parce que je travaille dans un lyvée hôtelier dont j'ai fait les portes ouvertes aujourd'hui
On croit mourir pour la patrie ; on meurt pour des industriels.
(Anatole FRANCE).
comment peut-on encore croire AUJOURD'HUI en ses balivernes?
Perso, j'ai un idéal, des idéaux dont ma patrie et les industriels dont je fais partie..
Écrit par : laura | samedi, 29 mars 2014
Très moderne la citation de FÉNELON, et tellement juste celle d'Anatole FRANCE. Amitiés.
Écrit par : Ariaga | samedi, 29 mars 2014
Très triste la citation d Anatole France. J ajouterai à quelque chose malheur est bon: En effet les progrès techniques en périodes de conflits sont souvent stimulés. Ainsi , le radar, les progrès des moteurs, et une foule de chose ont été pensés pour la guerre. Triste non?
Bonne soirée Elisabeth
Latil
Écrit par : Latil | mardi, 01 avril 2014
Petit coucou du soir Elisabeth. J'espère qu'il fait beau chez toi. Je t'embrasse. Ici des élevages de cochons il y en a ... trop et le lisier nous envahit hélas.
Écrit par : danae | mercredi, 02 avril 2014
Je souscris à la première citation... La famille italienne de mon mari est maintenant italienne - américaine - française - suédoise. Et on le voit bien dans ma page Facebook, elle reste une famille. Mais chaque branche à trouvé sa patrie là où on pouvait lui donner du travail...
Par contre je n'aime pas du tout celle d'Anatole France...
Écrit par : sister for ever | mercredi, 02 avril 2014
Merci à tout le monde d'être passé commenter. Bon week end.
Écrit par : elisabeth | jeudi, 03 avril 2014
Bonjour Elisabeth.... je suis en retard... j'étais partie en vacances....
Tu parles de mourir pour la patrie.... Anatole France... j'ai vu à la télé les deux films documentaires sur la guerre 14/18.... Une guerre atroce, où l'homme n'avait plus d'importance... ce fut un massacre.... et combien d'hommes...c'est incroyable qu'un tel gachis de la nature humaine se soit produit.... ces deux films m'ont fortement impressionnée...
J'espère que tu vas bien..... Il pleut sur Toulouse, mais c'est bien agréable vu le vent que nous avons eu.... je te fais un gros bisou
Écrit par : loula | vendredi, 04 avril 2014
Loula : j'ai vu aussi les documentaires sur la guerre 14/18. Et là j'ai encore découvert des choses. L'homme n'a plus d'importance, c'est vrai, il n'est qu'un petit pion. Tant de gâchis pendant ces 4 années. Oui je vais bien. Il ne pleut plus depuis hier chez nous mais il fait un vent fort. Gros bisous aussi ! bon week end.
Écrit par : elisabeth | vendredi, 04 avril 2014
belle interprétation de la 1 re citation par Sister
pour une fois, je suis d'accord avec elle pour la 2e: elle est insultante pour des gens comme mon mari parmi les industries qui vous habille, vous fournisse de l'énergie, des voitures etc.
J'avais lu qu'Apocalypse était orienté
j'ai regardé un bout, ça m'a suffit
mais c'est bien, vous et d'autres sûrement sont tombés dans le panneau
Écrit par : laura | dimanche, 06 avril 2014
Je ne sais pas pourquoi, la citation de Fénelon me fait penser à Depardieu et Poutine. ;-))
Écrit par : enriqueta | lundi, 14 avril 2014
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